Le blog de recitsdesexegay
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Après la nuit torride de la veille c'est le calme pendant plusieurs jours. Quelques craintes cependant pour les douches. Branco m'a brieffé avec précision
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On va aux douches ensemble. Vous vous douchez et moi je m'occupe de ce qui se passe autour. Tu ne regardes pas les mecs dans les yeux, ni bien sûr leur paquet, tu ne parles à personne, tu ne réponds pas si on t'interpelle. Quand vous avez fini, vous me rejoignez et vous restez à côté de moi quand je me lave. Normalement y a pas de lézard. Compris ?
C'était on ne peut plus clair. J'allais pas chercher d'embrouille.
J'ai pris moi aussi très facilement le pli de me mettre à poil devant les deux autres, ça me rappelait les plages gay d'avant... mais c'était toujours avec une émotion dans le bas-ventre quand je voyais mes deux compères et leur bandant équipement. Youf aussi, je crois bien, commençait à être en manque et sa queue se gonflait un peu lorsque nous nous frôlions à poil. Pour Branco, compte tenu de la sienne au repos, il fallait déjà une bonne pinte de sang pour la raidir, alors ça se voyait moins.
On regarde tous les trois un film à la télé, vautrés sur les lits du bas. Youf, en short, a la tête sur les cuisses de Branco et frotte ses cheveux sur son paquet qui peu à peu prend de l'ampleur. De l'autre lit, je n'en perds rien et commence à bander. Je demande au serbe si j'ai le droit de caresser son bel arabe. « j'vais pas faire la police des moeurs ! Bien sûr tu peux le caresser, si ça lui plait ! », répond-il.
Ses pieds nus dépasse de mon côté, je les prends dans mes mains. Je commence à les caresser, j'aime les pieds des mecs, et il a de très beaux et larges pieds bruns avec des touffes de poils noirs sur le dessus des phalanges et aussi en allant vers la cheville déjà broussailleuse. Le gros orteil, est assez plat, très large et les autres doigts s'étalent sans se chevaucher. Un pied superbe que je parcoure légèrement de mes doigts, qui, au passage sur la plante provoquent un léger tressaillement. Il ronronne quand je commence à sucer successivement ses orteils.
Le film n'est pas terminé, Youcef et moi bandons déjà sérieusement et le membre du légionnaire n'est pas loin de son plein développement.
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On arrête, les mecs, tant qu'il y a la lumière on peut rien faire de bien à trois. Après on attend la deuxième ronde des matons et on met deux matelas par terre. Les rondes suivantes sont plus espacées, et on les entend venir sur les coursives métalliques. On aura le temps de ranger les matelas et faire semblant de dormir. Après on recommence.... L'avantage c'est que ça nous fera durer plus longtemps.
Il avait un ton d'adjudant et on a pas émis d'objections. On a simplement continué d'entretenir le désir, qui, sans doute, ce serait entretenu tout seul dans la perspective à venir.
Vers une heure du matin après les deux rondes, matelas en place, Branco à voulu que je me mette au mileu. C'est lui qui mène le bal. Youf par dessus moi lui suce la bite, du moins le gland et encore il ne doit pas pouvoir bouger la langue. On est tous les trois déjà bien raides. C'est une première fois avec eux et je ne sais pas trop ce que je devrais faire, mais le serbe rompt l'incertitude, prend ma bouche et commence à me rouler une pelle dégoulinante, Là, je sens que je vais perdre tout contrôle et dès que ses doigts ont commencé à me caresser les tétons, délicatement (quelle différence avec l'étau de la poignée de main), j'ai commencé à gémir, me tortiller, me coller à lui. Mes doigts instinctivement, comme la bouche d'un nouveau né trouve les tétines, ont su trouver ses beaux tétons et les rouler entre pouces et index, lui arrachant un grognement de plaisir.
Youcef à abandonné le gland volumineux du légionnaire et parcoure de sa langue l'intérieur de ses longues cuisses, lèche ses boules et reprend ses tétons en bouche à peine les ai-je lâchés.
« je vais te prendre » me dit Branco. Je ne réponds rien mais me serre plus encore contre lui. Il a compris que mon cul lui appartient. J'ai quand même un peu d'appréhension.
« Youf, va chercher le beurre sur la table » lui ordonne-t-il.
« Toi, mets toi à genou, les reins cambrés »
C'est la main de Youf qui me tartine la raie. Je ne vois pas mais sans doute en met-il aussi sur le membre qui va m'empaler. Dans cette position je suis complètement à sa disposition, complètement soumis et ça doit lui plaire. Il commence à m'ouvrir avec les doigts. Avec ses grosse paluches même trois doigts c'est déjà conséquent, et il les fait tourner dans mon intérieur en insistant sur la prostate. Il a du métier ! Lorsqu'il les retire c'est comme si je me sentais abandonné et il reprend à nouveau pour m'assouplir encore, pour mon grand bonheur.
Youf est couché sur mes mollets et suce ce qu'il peut de Branco pendant qu'il me doigte. Lorsqu'il arrive à prendre la queue en bouche, je le sais car il a du mal à respirer.
Ses doigts on cessé de tourner dans mon cul, il s'est redressé, je sens son gland appuyé sur ma rondelle. Youf nous remet une couche de beurre. Son appui est fort mais je sens à ses cuisses contractées qu'il maîtrise le mouvement et ne s'enfoncera pas profondément d'un coup,involontairement, en moi. En fait le gland me dilate bien mais pénètre sans grande difficulté et je sais que sa queue va faire de même. Ce que je crains, c'est la longueur de l'engin. Comment va-t-il se faufiler dans mes compartiments rectaux. En fait, je ne sais pas où il en est, mais pas de douleur du tout. Sans doute un membre aussi gros ne peut-il pas être rigide comme de l'acier et sa souplesse tout en me dilatant magnifiquement lui permet de m'habiter en profondeur. Grâce à leur souplesse, j'avais déjà pris entièrement des dongs doubles, de quarante centimètres de long et cinq de diamètre, ça doit donc être possible pour son sexe qui n'est pas si long mais beaucoup plus épais.
C'est quand je sens ses couilles contre mes fesses que je réalise qu'il est complètement à l'intérieur. Il a pénétré si lentement que je n'ai pas ressenti la moindre douleur. Youcef très attentif à l'intromission (il s'y revoyait, la première fois) et heureux de l'évènement me met une grosse claque sur les fesses.
Branco commence à se mouvoir dans mon cul et fait de lents va et vient. C'est un bonheur absolu de sentir cette extrême dilatation de l'anus et de l'entièreté du rectum empli de sa chair. Lorsque son mouvement s'accélère le gland vient frapper le fond rectal et c'est un peu douloureux surtout lorsque pour s'enfoncer au plus profond agrippé à mes hanches, il tire violemment mes fesses vers lui, m'arrachant des gémissements de douleur.
Je ne sais pas depuis combien de temps il me défonce. Je sens mon trou béant, glissant autour de sa queue Il est très excité, sa respiration est haletante et sa sueur coule tiède sur mon cul.
« Youf mets toi à côté de lui à genou aussi. »
Je le sens se retirer. Une légère odeur de merde se répand. Evidemment en prison les lavements sont difficiles à organiser. Il m'ordonne d'aller chercher une serviette et de l'essuyer
« tartine moi de beurre, et aussi le cul de Youf. »
C'est incroyablement excitant d'enduire sa monumentale queue de beurre en massant un peu le gland, de rentrer un doigt ou deux beurrés dans l'anus de Youcef qui gémit déjà de désir, et de rester là, attentif à la dilatation du sphincter sous la lente poussée du gland. Il n'y a pas d'arrêt, le sexe rentre sans hâte mais complètement dans le rectum accueillant et, parvenu au fond, son mouvement de retrait tirant sur le muscle orne, comme je l'imaginais, le magnifique membre d'un collier rose clair se détachant, pâle, dans l'obscurité et dans la noirceur de la toison des fesses et de la raie de Youf. Je me glisse sous son ventre secoué par les va-et-viens du sexe magistral, essayant de boire à la source de Youcef les abondantes sécrétions de ses glandes séminales stimulées, comprimées par le tohu bohu rectal. J'aime ce liquide que les anglo-saxons nomment « Precum » la texture, le goût est très différent de celui du sperme (que j'aime aussi bien sûr), légèrement filant et souvent très doux de saveur.
Les matons peu discrets semblent revenir. En une minute, nous sommes apparemment endormis dans nos lits.
L'alerte passée, réinstallés, les sexes sont un peu ramollis mais personne n'a joui et très vite ils retrouvent leur raideur. Youf c'est trouvé un peu frustré par la déculade précipitée et après avoir érigé à nouveau le totem de son légionnaire s'accroupit dessus, le faisant pénétrer au plus profond et, se relevant en rythme, s'encule sur le pal, presque à ressortir le gland et à l'enfouir à nouveau et encore, et encore. Malgré l'appoint de beurre que je rajoute lorsque qu'il est presque déculé, ses gémissements rauques, traduisent une divine souffrance. Sa fourrure noire suinte de sueur et quand il ne m'échappe pas dans les mouvements désordonnés de son bassin, je sens son sexe rigide coulisser dans ma main beurrée. Branco, par le plaisir de son sexe avalé et recraché ainsi, murmure en serbe, j'imagine, des mots incompréhensibles et soudain saisissant les hanches de Youf le tire vers son bassin tout en s'arc-boutant, le pénètre ainsi au plus profond. Les spasmes nombreux qui le secouent aussitôt sont autant de jets de foutre brûlants dans les entrailles de Youcef qui s'affaisse sur sa poitrine. Les coulures pales du sperme sur le membre à moitié sorti, je les lape avec délice, aspirant vers ma bouche le jus que mon cul n'a pas pris.
Le calme est revenu. Ils sont encore essoufflés. Nous sommes allongés . Youf est contre moi et son sexe dur n'a pas joui, ni le mien rigide aussi. Il se tourne et m'embrasse et nos mains gluantes de beurre et de foutre nous branlent l'un l'autre doucement, guettant dans notre baiser le souffle court qui précède le plaisir de l'autre. Adaptant nos mouvements, sans en avoir convenu nous allons jouir ensemble.