Partager l'article ! L'agression: L'agression 23h et Daniel, n'est pas ...
L'agression
23h et Daniel, n'est pas encore rentré. L'orage est déchainé, j'espère qu'il n'a pas eu un ennui mécanique avec la vieille citroën qu'il a voulu prendre. Il aura les genous trempés, avec la fuite sous le pare-brise.
Je remets un disque de Guidoni. Il n'est pas vraiment optimiste, et ce n'est pas ce dont j'ai envie maintenant. Je change pour un vieux Marianne Faithfull mais c'est pas mieux. Je vais éviter Stromae et pourquoi pas une réédition des « Credence ».
Un coup de sonnette, je vais, inquiet, à la porte. Normalement, il a ses clés. Un homme la cinquantaine, dégoulinant, est sous la marquise. J'ouvre.
Est-il arrivé quelque chose ? dis-je inquiet
Non dit-il en entrant
Par surprise, il me ceinture et me passe des menottes, les poignets dans le dos. Je gueule comme un âne mais cela aboutit à me faire bâillonner sans rien savoir de plus. Le bâillon est ce genre de trucs qu'on trouve dans les sex-shops : une ceinture de cuir double associée à une boule en caoutchouc qui me remplit la bouche. Je suis maintenant dans le noir coiffé d'un masque en cuir qu'il me lie derrière la tête. Je n'en mène pas large d'autant que la porte est restée ouverte comme s'il attendait quelqu'un d'autre. Il me tire vers le salon et me pousse dans un fauteuil. Seul le rock assez énervé des « Credence » sature l'espace sonore. Malgré la musique je perçois qu'une deuxième personne est arrivée, et qu'ils chuchotent tous les deux.
Un des gars vient bientôt m'attacher par un noeud coulant autour du cou, corde attachée au pied du fauteuil. C'est évidemment efficace, je ne peux pas me lever sans m'étrangler.
J'entends qu'ils ouvrent tiroirs et armoire. Qu'espèrent-ils ? Plus personne n'a de liquide chez lui.
J' entends leurs pas lourds parcourir la maison. Ils vont fatalement découvrir le donjon, l'idée me glace un peu. J'espère que ce sont des ploucs sans trop d'idées. Espoir vite déçu en en entendant l'un dire « on va le monter là haut, on va se marrer ! ». Habituellement j'aime bien, mais là rien que l'idée me glace, et je me sens me recroqueviller dans le fauteuil. Ils trinquent avec un vieux Lagavulin tourbé comme si c'était du Ricard, je le sens d'ici.
L'un d'eux défait le lien au pied du fauteuil et me tire sans ménagement vers l'escalier comme avec une laisse. Deux étages à monter jusqu'au grenier aménagé.
Arrivés là haut, il m'attachent bras en l'air avec les bracelets à un anneau du mur. Je comprends bien que ce n'est qu'un « stand by » en attendant de faire le programme. Il y a une petite chaine Hi-Fi ici aussi et ils font gueuler un truc techno que je ne reconnais pas.... style « hard-house ». Ils prennent le temps d'explorer le matos, je les entends sélectionner les outils.
Je sens un bracelet se fermer sur chacune de mes chevilles, puis deux autres sur les poignets. Ils enlèvent les menottes et me tirent vers, il me semble, la croix de saint André. Ils m'y accrochent face au bois. Ils ne disent pas un mot, et mon hurlement est étouffé par le baillon au premier coup sur la fesse gauche. Ce doit être la raquette de ping-pong, je sens sa rugosité. Après une alternance fesse gauche et droite, ils entament de longues séries sans changer de fesse. Je hurle, bien inutilement autour de la boule qui obstrue ma bouche. Je suis trempé de ma salive qui s 'écoule en permanence. Peu à peu bien que les coups restent aussi puissants, mes fesses me deviennent comme extérieure à moi-même mais irradiantes, mes cris cessent et je sens que je commence à bander. Ils s'en aperçoivent « Putain, elle bande la salope !» et cessent de frapper, l'un toujours le même, me traite de porc, de putain, de trainée, ce qui ne me fait pas débander.
Ils me décrochent de la croix et m'y fixent à nouveau sexe vers eux, palpent mes couilles pendantes et me les ligaturent serrées par un lien au-dessus des testicules puis accrochent successivement des poids qui étirent le cordon qui suspend les couilles au périnée. C'est douloureux mais supportable et je bande plus encore. Faute de nouveaux poids ils passent à autre chose. Il ont trouvé les pinces à linge et mon corps est bientôt surligné de mes épaules au pubis de replis de chair pincés, même sous les bras étendus sur la croix. Il me semble que l'un d'eux passe une ficelle fine reliant toutes les pinces. Pour mes tétons ils ont trouvé les pompes « Aspi-venin » qui me les gobent au maximum; les faisant grossir à la taille de la coupelle d'aspiration.
Tout ceci est faiblement douloureux au début mais ils m'abandonnent ainsi et je les entends trinquer dans le fond du grenier.
Avec le temps la douleur devient intolérable, j'ai débandé depuis longtemps, et je commence à crier dans mon bâillon. Mon tortionnaire habituel se lève et vient contre moi, en m'insultant. Une douleur terrible ! il vient d'arracher toutes les pinces d'un coup grâce au cordon qu'il avait glissé dedans. La douleur est violente mais s'atténue rapidement. Il enlève aussi la majorité des poids ce qui me soulage bien, les couilles ne devais pas être loin de bleuir ! J'aimerais qu'il libère mes tétons qui deviennent hypersensibles. Il les étire, les tord, en manipulant les pompes, ce qui ne manque pas de faire entrer de l'air et elles se détachent. Mes tétons ont triplé de volume. « Woua ! La salope elle va jouir ». Il me les prend entre pouce et index et commence à me les rouler en serrant très fort. Je hurle puis je rebande (les tétons c'est mon truc), ce qui me vaut une grosse claque sur la queue, qui ne l'empêche pas de rester bandée. Le voilà parti. Je l'entends chercher dans un tiroir. Il est de nouveau près de moi et attache à mes tétons dilatés des pinces munies de poids. Je ne savais plus où elles étaient mais lui, il les as trouvé !
Je les entends à nouveau chuchoter au fond du grenier. La douleur des pinces à tétons est devenue intolérable et je gueule comme un perdu un son étouffé par la boule dans ma bouche.
Des pas...viennent-ils me soulager un peu ? On m'enlève les pinces et on me roule les tétons entre les doigts, la douleur, là encore est fulgurante mais s'atténue très vite et je rebande encore. J'entends bientôt qu'on enlève le matelas du petit lit sous les rampants. Après m'avoir détaché ils m'y allongent à plat ventre la bite et les couilles pendantes entre les lattes. Penché sous le lit, l'un deux me raccroche des poids tirant sur les couilles. Il se redresse, je le sens à côté de moi, et je hurle de douleur sous un nouveau coup puissant assené sur mes fesses. Je hurle, car en réaction au coup j'ai donné un violent coup de rein qui m'a donné l'impression que mes couilles s'arrachaient.... alors là je ne bandais plus . Il a recommencé les coups sur les fesses, mais moins durement. Lassé sans doute il m'a laissé et est reparti boire.
Je n'avais plus aucune notion du temps, cela faisait peut-être plus d'une heure qu'ils me tourmentaient ainsi. Et Daniel qui n'est pas encore rentré qui pourrait me libérer ! Peut-être empêché, a-t-il laissé un sms sur mon portable qui est resté en bas.
Cela n 'a pas duré longtemps. Je grelottais. Je les ai entendu revenir, me détacher, enlever la ligature des testicules et me faire coucher sur mon propre string en lanières de cuir croisées. Il m'y ont attaché, jambes en l'air, cul à disposition et mis une couverture sur moi, attention surprenante, le temps que je reprenne mes esprits. Ils m'ont aussi donné à boire, de l'eau. Je suis épuisé, allongé ainsi, je récupère et peut-être me suis je assoupi.
Je les sens à nouveau me frôler, m'enduire l'anus de gel silicone. Un doigt me pénètre et titille ma prostate, la réaction d'érection est immédiate. « Elle aime ça la salope, elle va en avoir plein le cul ! » c'est toujours le même qui parle avec sa voix au ton vulgaire comme celle d'un loubard de banlieue.. « Je vais t'enculer avant de t'ouvrir plus, sinon je sentirai plus rien ! » A-t-il mis une capote ? Je crois avoir entendu le déchirement de l'enveloppe.. De toutes façons, je suis à sa merci.
Il est rentré direct et je sens que sa queue est très épaisse et bien dure, quand, son pubis frappe violemment contre mon cul et l'enfonce au maximum. Bientôt je l'entends glousser de plaisir mais il se retire me disant à l'oreille qu'il a un programme bien plus ambitieux. Il s'est rendu compte qu'il n'est pas nécessaire de commencer par de petits godes et il commence fort par le gros dong double qu'il m'enfonce lentement. Je prends habituellement les quarante centimètres, mais il le retire et dit à son comparse « Elle est toute propre, on va pas perdre de temps ». Evidemment, je suis propre ! quand Daniel vient, je passe l'après-midi à me préparer l'intérieur. « Je vais le fister direct ! »
Je sens l'odeur du « crisco » qu'il me tartine dans la raie et ses doigts s'enfoncent sans problème, trois puis quatre, pouce replié ça coince, et il a beau tourner et retourner la main ça ne passe pas. Il faut dire qu'il ne m'a guère préparé. Il rajoute un gel plus liquide, pousse un peu mais je reste trop contracté. Le début de soirée n'a pas vraiment permis de se relaxer. Il change de tactique et me travaille le fion gentiment, avec trois doigts qui me palpent bien l'intérieur et me font bien bander.
Je suis assez étonné du changement de comportement. C'est un mec qui doit savoir fister et savoir ne pas défoncer un cul. Sa bouche se pose sur ma queue et il commence à me sucer pendant que je sens qu'il reprend la tentative de fist. Il suce super bien et je suis parcouru de frissons de plaisir. Je sens sa main en pression sur mon trou et plus le plaisir de ma queue augmente plus mon sphincter s'ouvre et sa main progresse sans douleur jusqu'au glissement délicieux de sa main aspirée en moi. Il arrête aussitôt de me sucer pour ne pas me faire jouir et il a la délicatesse de rester la main immobile le temps que mon rectum s'habitue à sa présence. Je le sens ouvrir la main et ses doigts caressent mes muqueuses avec délicatesse. Je crois, bien que ce soit maintenant inutile, que mon anus est complètement relâché sur son poignet. Son comparse me détache mains et jambes et enlève mon bâillon. Je n'ai qu'un désir, attraper l'avant-bras qui me pénètre pour le pousser plus encore à l'intérieur, le tourner à gauche, à droite, m'enfoncer dessus, mes gémissements de plaisir ne sont plus étouffés et ma bouche libérée est bientôt remplie par une queue que je suce avidement, ne la lâchant que lorsque le plaisir de mon cul me fait gémir plus encore.
Je sens la main de mon fisteur se retirer lentement, mais agrippé à son bras, j'essaie d'empêcher ce mouvement. Il enlève ma main. Je sens son poing se refermer. Il est serré par mon rectum et tourne de droite et de gauche tandis que je m'envole à des hauteurs stratosphériques, tout mes muscles flasques. Le centre cérébral du plaisir est totalement occupé par ces rotations. Le temps, l'espace n'existent plus, je ne suis plus qu'un rectum palpitant habité par un poing mobile!
Ce poing recule lentement vers l'anus, qui ne résiste pas, totalement élastique il le recrache entre mes fesses. Là je suis emporté par un prodigieux orgasme anal qui me secoue de spasmes pendant que je reprends lentement mes esprits. Ils me laissent savourer ce moment exceptionnel en me caressant à peine le visage, la poitrine, la queue, qui se redresse à nouveau après une éclipse pendant le fist. Lorsque que ma respiration est apaisée je sens une bouche sur ma queue, une autre forçant mes lèvres que je gobe avec délice. Je reconnais la voix rauque de mon fisteur dans les gémissements que je lui procure en suçant, aspirant sa queue épaisse. Il est très excité, le fist l'a aussi bien fait grimper. Je sens sa queue enflée au maximum prête à me cracher la purée qui sans attendre, en même temps que son cri, me remplit en longues giclées, la bouche d'un foutre épais et visqueux, très doux de goût, que j'avale avec plaisir, ma langue agile nettoyant le gland afin de n'en perdre pas une goutte.
Mon suceur, était au ralenti attendant l'épilogue de son comparse. Il a une bonne technique qui me durcit très vite d'autant que son copain me caresse les tétons délicatement. Moi aussi je suis rapide à jouir en un sonore couinement et le confort de jouir dans une bouche est délicieux.
Il m'attachent à nouveau sur le sling, me recouvrent de la couverture et partent boire un coup. Un quart d'heure et je les sens revenir à moi. La caresse de mes tétons reprend. Ma bite un peu paresseuse d'avoir déjà joui est quand même mi-molle quand l'autre commence à me sucer, elle durcit, bien sûr, mais la succion est presque douloureuse et il faut que mon esprit se concentre sur mon gland pour essayer de trouver la situation excitante. Il arrête de sucer et me branle maintenant à l'huile en insistant sur le gland... peu à peu une sensation de désir et de possible plaisir irradie de ma queue et se redressant brutalement elle gicle un sperme presque liquide qui jaillit au delà de mon visage qui n'en reçois que le derniers jets.
Ils partent à nouveau, me laissant couvert. Je suis crevé, je somnole mais bientôt, ils sont à nouveau près de moi. L'un me caresse les tétons et l'autre me suce mais mon gland semble se rétracter dans ma queue et elle même dans mon ventre. Impitoyable il la tire entre ses doigts et l'aspire décalottée dans sa bouche ou sa langue lapant le gland essaie de réveiller l'organe, qui gonfle légèrement. La sensation est terrible et j'essaie en gigotant de faire échapper mon sexe à sa bouche dont les caresses sont insupportables. Je gueule comme un âne et me voilà à nouveau étouffé par le bâillon. Je vois bien qu'il me faut me reprendre, essayer de dissocier ses sensations de celles des autres organes, de le regarder comme extérieur à moi, de ne considérer que son supplice isolé de mon corps. Ainsi, pouvoir l'accepter, même, peut-être ensuite, l'intérioriser, même le désirer après l'avoir dans un premier temps mentalement isolé hors de moi, exercice taoïste improvisé. Mon corps peu à peu s'est retrouvé apaisé et mon sexe non soumis à ma volonté s'est remis à s'ériger et cracha à nouveau dans une contraction musculaire qui m'a semblé intéresser le corps entier et qui m'a laissé pantelant, épuisé, anéanti, vidé.
On me délit à nouveau, décroche le bâillon, puis c'est la levée du corps. Mes jambes ne me soutiennent plus et ce sont eux qui me portent et m'allongent sur le canapé au fond du grenier.
Une explosion, c'est un bouchon de champagne ! A moitié assis, on me tend une coupe « Bon anniversaire Damien ! »
On m'enlève le masque.
« Putain, Daniel ! T'es un grand malade !!! » j'y ai cru jusqu'au bout... enfin j'ai eu un léger doute avec la délicatesse du fist impossible à imaginer par de vrais agresseurs. Mais j'étais dans le trip et je l'ai vécu jusqu'au bout sans même me souvenir de ce vague doute que j'eus. Où est-il allé cherché un Maître aussi compétent, l'expérience de l'age, la bonne cinquantaine, beau mec, baraqué et souriant.
Crevés, on se retrouve à poil, tous les trois dans le très grand lit de la chambre au premier où Daniel trouvera lui aussi un moment pour jouir. C'est un week-end qui à commencé très fort.
Marc
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