Non catégorisé

Jeudi 30 juillet 4 30 /07 /Juil 22:31

 

 

Avez vous jamais été mordu par un sphincter ?

Demanda Nicolas à la caféréria de l'hôpital

 

 

  • Quoi ????

  • J'en ai connu des serrés mais aucun dont je puisse dire qu'il m'ait mordu. » dis je riant ; c'était quand ?

  • c'était juste ce matin ; dit -il sourire épanoui

  • Ce devait être un jeune ; dit Louis

  • oui, un jeune deuxième année d'université, pour sa licence de sport. Habituellement je ne leur fais pas cet examen.... je ne sais pas ce qui m'a pris

  • C'était qui ? Demandai-je

  • un Kevin, je crois.... je ne me souviens pas de son nom

  • Tu te souviens de son trou du cul, mais pas de son nom..... c'est du joli !

  • Tu l'as fait se pencher sur la table ou allongé sur le côté ?

  • Non il était sur le dos les pattes en l'air.

  • Il devait penser que tu allais te le faire

  • naannn !!! c'était un mec timide..... bien sûr j'ai contrôlé ses couilles et sa queue... la routine

  • Il bandait ?

  • Tu parles !

  • Il mouillait ?

  • Il a mouillé quand j'ai rentré mon doigt

  • t'as été loin ?

  • La prostate, bien sûr, c'est pas très loin... il a gémi quand mon doigt l'a palpé. Il bandait et était très embarrassé.... qui sait ce qu'il aurait fait si je l'avais fait jouir en insistant un peu.... en tout cas il en était pas loin

  • Et alors, son sphincter t'as mordu ?

  • Ben oui, quand j'ai voulu retirer mon doigt son muscle interne s'est violemment contracté et a coincé mon doigt.... c'était douloureux je peux te le dire.

     

Je ne sais pas ce que pensait Louis, mais visiblement il bandait. Et dit

  • je me demande ce que le jeune pensait

  • probablement qu'il est tombé sur un vieux pervers. Dis-je

 

  • pas du tout j'avais l'air totalement professionnel.... j'ai des gros doigts mais rien à voir avec une queue.... j'imagine ce qui arriverait à un partenaire qui l'enfilerais... une bite broyée !

 

#

 

Je me demandais ou habitait cet étudiant.... je verrai bien dans les dossiers de Nicolas, en plus il fait toujours une fiche avec la photo du patient.

Dans la soirée, j'avais mon information. Il habitait chez ses parents, pas très loin de mon quartier.

L'idée de tester ce petit cul avec ma propre queue m'a obsédé toute la soirée et alimenté furieusement les fantasmes de mes branlettes du soir et de la nuit.

J'avais l'adresse, la photo de sa jolie tronche, aussi déroutai-je mon jogging matinal dans l'espoir de le croiser.

La troisième fois, une centaine de mètres avant sa maison, je le vis tondre la pelouse de se parents.

Je fis semblant d'être hors d'haleine et fis des mouvements de stretching devant chez lui. Lorsque son regard se fixa sur moi, je le hélai. Curieux, il vint vers moi, poussant sa tondeuse. Je portais un short en jersey sans slip et avec la sueur mes parties génitales étaient plus que suggérées. Sans être obscène. Avant que j'ai eu le temps de lui demander un verre d'eau, il avait vu ce que je voulais qu'il repère. Il est revenu très vite quand, la main dans le short, intentionnellement pour lui, je remettais mes bijoux en place. Je le remerciais pour l'eau et lui demandais si ça ne le gonflait pas trop de tondre des pelouses.

  • Non, j'ai l'habitude

  • Si tu veux gagner un peu d'argent, j'ai la mienne à tondre et j'ai jamais le temps. C'est grand comme ici. Tu voudrais combien ?

  • vingt euros, ça vous conviendrait ?

  • OK, peux-tu demain samedi 10h du matin ?

  • Oui, je peux. Où est-ce ?

  • 500 m d'ici, 35 rue des lilas

  • comment t'appelles-tu ?

  • Kevin

  • Enchanté ! Moi c'est Paul., à demain Kevin.

L'amorce est prometteuse, beau mec et pas si timide que ça du regard.

 

Samedi matin j'étais excité comme un pou et ça m'a réveillé tôt. J'espérais le garçon portant un short en jersey comme le mien.

Il est arrivé en jean et tee-shirt

  • ma tondeuse est capricieuse, un peu hors d'âge, ça va aller ? Tu as l'air puissant , ça ira je suis sûr..

Je lui indiquai ce qu'il devait tondre, pas tellement en définitive.

Il travaillait vite et avec le soleil il était trempé de sueur

  • Tu as chaud, veux tu boire un verre ?

  • Oui, c'est sympa ! Dit-il en essuyant son front avec sa manche.

  • Viens à l'intérieur il fait meilleur et tu pourras t'assoir.

Je lui donnai un verre d'eau glacée et pendant qu'il buvait, appuyé contre l'évier je le regardais. Il le sentais et pour dissiper son malaise me demanda

  • vous faites quoi comme métier ?

  • Je suis médecin chercheur à l'INSERM

Il y eut un silence et il dit

  • j'ai vu un médecin en début de semaine....

  • oui ? .... quelque chose qui ne va pas ?

  • Non juste un examen pour la licence de sport

  • et pas de problèmes j'imagine...

il finit son verre, il y eut un silence et dit

  • c'était un peu étrange

  • étrange ?

  • Ouais.... ouais..... mais est-il normal pour un docteur......

  • tu as été gêné ?

  • Un peu

Il n'osait pas dire puis il se lança en rougissant

  • Il m'a fait mettre sur la table, lever les jambes et il m'a enfoncé son doigt entre les fesses.

  • Ah oui, un examen rectal. Et il a enfoncé son doigt profondément.

  • Est-ce normal ?

  • Oui bien sûr, il voulait tester ta prostate. Je suis sûr, c'était normal et donc il ne t'a rien dit. As tu eu mal ?

  • Non pas du tout.

  • Du bien ? Alors ?

Il rougit

  • sûrement ça t'a fait du bien, ne sois pas embarrassé, c'est normal. Palper cette glande donne du plaisir.

  • Alors le plaisir que j'ai eu était normal avec ce docteur ?

  • Bien sûr Kevin. En fait beaucoup d'hommes qui se masturbent se rentrent un doigt de l'autre main dans l'anus pour masser leur prostate.

  • C'est vrai ???? Comment font-ils ?

  • Il se branlent d'une main, s'allongent sur le dos, comme tu l'as été, et rentrent leur doigt le plus long dans leur anus pour atteindre la prostate.

Kevin était silencieux réfléchissant à tout ce que je venais de dire. Brusquement il me dit

  • Et vous ? vous faites ça ?

  • Bien sûr, souvent.... c'est très bon.....

  • wwwoooo !!!!

  • ça aide si tu mets un peu de lubrifiant sur ton doigt. Un anus peut être très serré. Avec le lubrifiant c'est super bien.

Avec notre conversation, la queue de Kevin semblait bien à l'étroit dans son jean et la mienne pas loin de sortir du short..... ce qui n'échappait pas au jeune homme.

J'ai osé une suggestion

  • Tu veux une démonstration ?

  • Quoi ??? (Kevin était écarlate)

  • oui, je peux te montrer comment je fais

  • c'est vrai ? Tu veux me montrer (il était passé directement au tutoiement sans même s'en rendre compte)... tu ferais ça pour moi ?

  • Bien sûr, tu vas pas apprendre ça à l'école ni par tes parents

     

J'ai laissé tombé mon short après avoir dégagé ma queue très raide, posé mon cul nu sur le meuble de cuisine et me suis allongé, mon cul face à Kevin qui s'est encore approché.

  • tu vois, je me branle comme d'habitude, comme toi, sans doute (Kevin était rouge sombre, mais sa queue mouillait abondamment son jean). Tu peux prendre ce qui s'égoutte de ta queue comme lubrifiant, comme moi, ou du beurre, crème pour la peau.... tu enduis ton anus et tu rentres lentement ton majeur

  • WWWOOOO !!!!!

  • je le rentre jusqu'à atteindre ma prostate, ça fait un petit renflement côté ventral, et je la masse en me branlant de l'autre main. Ah ! Kevin, c'est bon ! Tu veux essayer ? Prends de la margarine sur ton doigt et cherche ma prostate....

  • oh oui ! j'ai envie..... t'es sûr ?

Il était tellement ému et excité qu'il avait le visage tendu

J'ai retiré mon doigt et guidé le sien dans mon trou. Je lui dis

  • voilà tu y es, c'est doux, c'est chaud, La paume de ta main vers le haut, ton doigt explore et va trouver ma prostate un peu en relief.

  • T'as pas mal ?

  • Pas du tout..... masse ma glande avec le bout du doigt Wooo !!!! tu fais ça très bien regarde ma queue prête à éclater comme elle te remercie. C'est trop bon, continue je vais jouir.....

  •  

Ma queue encensait, et je sentais venir sans même la toucher le flot de foutre qui suivrait les spasmes annonciateurs. Un geyser blanc visqueux m'inonda le torse et le ventre en giclées nombreuses en même temps qu'un cri rauque s'échappait de ma gorge. Kevin s'était arrêté, médusé le doigt encore dans mon cul, la bouche et les yeux grands ouverts, comme terrassé par la surprise. Kevin avait encore plein de questions dans le tête, il voulait surtout savoir si beaucoup d'hommes au cours des examens rectaux étaient comme lui, prêts à jouir.

 

  • Peu le sont. Ils préfèrent un examen rapide, mais certains, rares, sont très sensibles, et ils ont beaucoup de chance d'avoir cette sensibilité là.

  • Est-ce qu'ils jouissent ?

  • Non rarement mais ils en sont parfois proche.

  • WWWOOOO !!!!

  • Veux-tu que je palpe ta prostate ?..... tu verras bien où tu te situes. Si je te fais jouir, tu seras un de ces mecs chanceux qui peuvent jouir du cul.

     

Il était trop timide pour répondre mais sa braguette affirmait : oh oui, je veux !!!!

Je suis descendu du comptoir et lui dit

  • enlève ton pantalon, et viens ici. Je sais que tu veux connaître cette sensation, tu veux savoir si tu pourras t'éclater avec ton cul..... t'as vu avec moi, c'est puissant, irrésistible, magnifique, le plaisir à l'état pur.....

Les doigts tremblants il défait son jean, et laisse tomber son caleçon.... sa queue parle pour lui, un beau morceau épais et rigide comme une barre d'acier, trempée déjà de sécrétion translucide.

 

  • t'as une très belle queue, elle va te donner beaucoup de plaisir. Je te promets une superbe jouissance.

Il était un peu flageolant, je l'ai monté sur le comptoir, le cul tout au bord. Sa grosse queue raide battait la mesure.

  • t'as un beau trou du cul, je vais te l'enduire de margarine et ça va être très doux.

Je lui caressais doucement l'anus et ce plaisir là, déjà le détendait.... il avais finir par poser sa tête sur le comptoir, les yeux fermés et son corps qui était contracté se détendait progressivement.

 

  • Tu te sens bien ? Ne pense à rien, rien qu'au plaisir de sentir mon doigt entrer en toi. Tu lâches prise tu me laisses te conduire au bonheur.

  • Oui, OK, j'suis relax maintenant.

 

Mon doigt pénètre lentement dans son trou bien serré. J'observe son visage qui reste apaisé. Il sourit et laisse échapper un léger gémissement qui semble être de bonheur. Pas trace de douleur pour lui.

  • Ton trou est serré-serré, Kevin. Ton sphincter est incroyablement tonique et m'écrase le doigt mais reste détendu et goûte le bonheur de mon doigt qui rampe en toi.

  • C'est pas bien ?

  • Pas du tout, ce qui compte c'est ton plaisir. C'est normal qu'un jeune gars comme toi soit serré ainsi.

Cela ne m'a pas pris trop de temps d'atteindre sa prostate et quand mon doigt s'y appuya le garçon émit un long soupir sonore.

  • tu te sens bien ?

  • Magnifique, je vois des étoiles.

  • Ouvre les yeux et regarde ta queue, cette sécrétion claire qui s'écoule comme d'une source, de manière continue, elle vient de tes glandes que mon doigt sur ta prostate stimulent. Est-ce que je peux la boire, c'est si doux....

  • Oh oui ! Tu peux...... je suis trop bien......

J'ai posé mes lèvres serrées juste sous son gland et aspiré ce nectar juvénile qui s'écoule de son méat urinaire. Mon doigt continue de masser sa prostate et de sa gorge sort un son doux et rauque à la fois, comme le ronronnement enroué d'un félin qui s 'abandonne aux caresses. Il est au septième ciel.

  • ah, mec c'est trop bon …. trop bon.... trop bon.....

  • Profite, laisse aller.....

Progressivement la force de son sphincter interne augmente et serre la base de mon doigt comme un étau. Je ne me demande plus pourquoi Nicolas parlais de morsure de sphincter. Heureusement la phalange extrême peut continuer à masser. J'avais la moitié de sa queue dans la bouche, son gland caressé par mon palais quand il cria

  • ça vient, je peux pas l'arrêter

  • viens.... viens !

Putain il m'a rempli la bouche. J'avalais à mesure que les spasmes m'envoyaient des giclées jusqu'à ce que ses couilles soient vidées. J'ai enfoui mon visage dans ses couilles et son entre-jambe enivré du parfum de foutre et de le sueur mêlés. Son sphincter s'est relâché, j'ai sorti mon doigt de son cul et excité comme jamais, incapable de me contrôler, je me suis branlé dans mes doigts et j'ai étalé mon foutre entre ses fesses et sur son trou pour aussitôt dévorer, lécher, sucer mon sperme et son odeur à lui. Il a paru étonné de sentir ma langue s'emparer de son trou du cul mais le plaisir l'a fait me le tendre pour que je m'en repaisse plus encore.

  • as tu aimé ce que je viens de faire ? As tu aimé que je te bouffe le cul ?

  • Oh, j'avais jamais connu ça …. c'était incroyable d'avoir autant de plaisir de ton doigt et de ta langue......je ne pensais pas que c'était possible !

  • Tu es un chanceux d'avoir un corps ouvert à ces plaisirs.... il y en a bien d'autres bien sûr.... si tu as envie on pourra les explorer.....

Je l'ai pris dans mes bras pour le descendre du comptoir..... et je l'ai serré contre moi.

  • Repose toi un peu avant de reprendre la tonte, tu en as besoin.... les émotions ça fatigue aussi !

Je l'ai laissé sur le canapé et nu je suis allé dans le jardin derrière où à la reprise du boulot il a eu du mal à tondre en lignes droites lorsque se dirigeant vers moi il me voyait bandé de le voir travailler.

 

  • Beau travail Kevin. Voilà tes vingt euros. Peux-tu venir samedi prochain vers 9h. En cette saison ça pousse vite.

  •  

Je savais qu'il aurait adoré recommencer tout de suite et malgré l 'envie que j'avais de jouer avec son étroit trou du cul, je préférais le laisser affamé une semaine.

  • Je serai là, Paul. Tu peux être sûr.

Le désappointement dans sa voix était palpable.


  • Je te crois Kevin. A Samedi !

Il va passer la semaine à explorer son trou.... dans les cinq minutes, revenu chez lui, je sais ou il aura mis son doigt !

 

 

Par marc
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Jeudi 30 juillet 4 30 /07 /Juil 22:29

 

 

Samedi matin, je me suis réveillé bien détendu, je suis resté à poil pour faire le petit déjeuner, la queue raide à l'idée de retrouver ce petit trou si serré.

Pour aller prendre le journal j'ai remis mon vieux short en jersey, faisant attention qu'elle ne se montre pas trop !

J'ai eu le temps de lire le canard jusque vers neuf heures mais je pouvais rester sur la même ligne cinq fois sans comprendre. Ma queue, elle, marquait les minutes en durcissant à mesure que l'heure arrivait. Finalement j'ai enlevé le short pour la laisser respirer. J'ai eu la tentation de la lubrifier, mais il vaut mieux que ce soit lui qui maîtrise toutes les étapes.

8h58h, il sonne.... c'est lui.... j'ai vérifié avant d'ouvrir à poil. Il est là torse nu, la braguette déjà bien gonflée, le regard fixé sur ma bite raide.

  • viens, (dis-je en le tirant vers moi. Son sexe était rigide comme un roc) tu ne peux pas tondre dans cet état.... et cet état c'est depuis quand ?

  • Depuis que je suis réveillé et encore depuis samedi dernier.....

  • laisse la sortir de cette armure.

Il ne portait pas de sous vêtement sous le jean et sa bite a jailli comme un diable de sa boite.

  • Ta mère sait que tu quittes la maison sans caleçon ?

Il rit. Je l'ai pris par l'épaule, sa peau était douce et chaude, et nous sommes allés dans la chambre.

Je l'ai poussé sur le lit et relevé ses jambes, son cul tout au bord.

  • Tu as du jouer avec toute la semaine ?

  • Oh ! Ouais ! dit-il en riant

  • T'as senti ta prostate en te branlant ?

  • Oui, c'était toujours super !

Son trou autour du doigt que je commençait à tester était toujours aussi serré.

  • tu t'es branlé ce matin ?

  • Ben non, je venais ici, alors..... mais c'était dur de résister.....

  • tu ne voulais pas décevoir le docteur ? C'est sûrement ça !

Il rit encore. Il était bien relax. J'ai sorti un lubrifiant très glissant aux silicones et j'ai tartiné son cul et en ai fait pénétrer à l'intérieur. J'en ai laissé une bonne épaisseur et lui ai demandé de le faire pénétrer aussi avec ses doigts. Ses deux mains derrière lui, ses doigts ont bien joué avec le gel, le faisant pénétrer autant que possible à l'intérieur. J'en rajoutai régulièrement.

  • Il va falloir un tonneau de gel, Kevin !

  • Là, je crois que ça baigne, Docteur !

J'arrivais maintenant à introduire plusieurs doigts sans avoir la circulation coupée. Je laissais tomber une bonne giclée de gel sur ma queue

  • Maintenant lubrifie ma bite, étale bien des poils à la base jusqu'au gland, étale la bien mais ne me branle pas.

  • Putain t'as une sacrément belle queue !

  • T'aimes la regarder, la toucher, tu veux la sentir en toi ?

  • Oh oui.... ça m'excite un max.

  • j'aime beaucoup ton sexe aussi, si épais à la base et si doux....

  • mon copain Denis à une queue comme la tienne, mais on se touche pas. Chacun se branle. Il a une petite amie, alors....

  • Quel dommage que les garçons ne sachent pas tout le plaisir qu'ils pourraient avoir ensemble.

Il sentait mon gland frotter à l'orée de son anus

  • Qu'est ce que tu fais ?

  • Je vais faire de toi un homme.

Je jouais avec ma queue contre son trou, l'appuyant parfois un peu vers l'intérieur

  • ça va ? dis je en poussant un peu mon gland en lui.

  • Oui, murmura-t-il

J'ai pris ses hanches en main et je l'ai tiré vers moi lentement en augmentant la pression de ma queue sur son anus. Il fallait se battre pour chaque millemètre gagné.

  • Ooooh , gémit-il

  • respire à fond, profondément et lentement , (et je poussais plus fort) Putain t'es serré ! (et je n'avais passé que la tête) ; ça va ?

  • Oui, ça va..... je la sens bien.....

  • Un peu plus, ça va bien glisser maintenant que le gland est entré.

Je sentais l'action de son sphincter de manière pulsatile, une contraction forte suivie d'une brève relaxation pendant laquelle je gagnais quelques centimètres.

Des larmes coulaient des paupières fermées de Kevin, son visage pourtant était détendu et parfois s'exhalait de sa poitrine un soupir, un gémissement doux qui n'était pas de souffrance. J'avais entré tout mon sexe en lui, un étau chaud me serrait et me pompait merveilleusement. Je pouvais maintenant coulisser dans son cul mais il était presque inutile de bouger tant son anus faisait tout mon bonheur.

Je me suis penché sur lui, l'ai embrassé dans le cou

  • je vais jouir ; lui ai-je dit à l'oreille

  • aaahhhh.....

il n'en dit pas plus et m'inonda la poitrine et les tétons de son jus chaud et visqueux ce qui me fit exploser en lui.

Son anus ne se relâchait guère mais j'étais si bien en lui... Nous avons basculé sur le flanc, je le tenais dans mes bras, embrassant la peau si douce de son cou, de ses épaules...

  • Je n'avais jamais ressenti ça, avant.... c'était comme si je planais très haut, au dessus du sol. J'avais oublié tout le reste.... il n'y avait que mon trou et ton sexe... rien d'autre.... comment c'est dedans ? C'était chaud, humide quand ton sexe était en moi

  • oui, tout à la fois, chaud, humide, vibrant, vivant.... Il n'y a rien d'autre comme ça, non, rien d'autre....

Ma queue était ressortie, il s'est tourné vers moi et m'a serré dans ses bras. Ma main jouait avec ses couilles, caressant et branlant doucement sa queue.

  • Tu veux essayer ? Tu veux me baiser ? Tu veux entrer ta queue dans mon cul ?

C'est étonné qu'il m'a regardé dans les yeux

  • Tu veux bien ? Oui j'ai envie...

  • Moi aussi j'ai envie.... ta queue est redevenue dure. As-tu déjà baisé quelqu'un, même une fille ?

  • Non, je suis trop timide pour les filles et les garçons.... enfin tu comprends.... pas facile et je ne savais pas comment c'était.

  • Bon, je vais lubrifier ton sexe et tu rends mon cul tout glissant.

Je me suis mis sur le ventre, le cul tendu

  • j'aime bien être baisé comme ça.

  • Tu aimes bien être baisé ?

  • Bien sûr, comme tu as aimé avoir ma queue dans le cul.

  • Oui au début c'était un peu dur mais après quand tu étais au fond, c'était merveilleux.

  • Mets du gel sur ta main et ouvre moi avec tes doigts...... oui tu peux mettre trois doigts, et travaille mon cul en les tournant à l'intérieur.... oui oui oui.... comme ça , j'aime ça, continue, continue.....

  • C'est bon ! J'adore sentir la douceur de l'intérieur de ton cul.... chaud et humide et comme du velours.

  • Donne moi ta queue maintenant, j'en ai envie, t'es plus dur que jamais.... rentre la dans mon cul mais après va doucement sinon tu vas jouir trop vite

Il n'a pas eu à forcer mais il est rentré lentement et j'ai senti ses couilles contre les miennes quand il a été bien au fond

  • wwwooo ! docteur, tu as gobé ma bite entièrement !

  • super ; dis je dans un vague grognement.... continue, vas viens dans mon trou

  • Comme ça ?

  • Oui.... tu peux aussi la sortir et rentrer aussitôt dans toute sa longueur.....

Mon sphincter se contractait sur son gland quand il se retirait lentement, mon cul tendu se cabrait pour pour ne pas sentir l'absence de sa bite en moi. Ma queue frottée sur le drap par mes mouvements et les siens était près de jaillir

  • Qu'il est bon ton cul !.

  • Baise moi, baise moi plus vite, plus profond !

Ses bras me tenaient serrés contre lui, nos peaux en sueur glissaient l'une sur l'autre, le souffle de Kevin dans mon cou, ses dents parfois mordaient mon épaule lorsque sa queue buttait au plus profond de mon cul. Son excitation, ses râles, son essoufflement me rendaient fou de désir et mon cul me semblait béant pour son bélier.

  • Aaahhh ! Je jouis dans ton cul ! Ah, putain que s'est bon.....

Il s'est laissé tomber sur moi comme une écharpe sur un dossier de chaise, son souffle court dans mon cou, son râle à peine audible... sentir sa peau abandonnée sur la mienne a achevé de me faire venir, mon cri s'étouffant dans l'oreiller, les spasmes amortis par son poids inerte sur mon cul et mon dos... putain de jouissance sans fin, sa bite raide habitant encore mon cul palpitant... et lui encore m'embrassant tendrement là ou il pouvait.

Je me suis retourné et l'étreinte que nous avons eu était celle de deux amants, comme le baiser passionné qu'il a su inventer.

J'ai travaillé avec le tonique Kevin tout l'été. … et la pelouse fut tondue quand même.

A la rentrée il est parti à l'université de Toulouse commencer sa licence de chimie. Heureusement il y a les vacances étudiantes et Cahors n'est pas si loin... même pour un week-end.

 

 

 

Par marc
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Mardi 28 juillet 2 28 /07 /Juil 14:29

Monsieur Marco

 

M. Marco, de la maison à côté, était une tentation permanente. Chaque matin, il venait faire de la musculation dans son sous-sol.

Il savait parfaitement que de ma chambre je pouvais voir tout ce qu'il faisait. Même si je ne l'ai jamais vu regarder vers moi par la fenêtre du sous-sol vers moi, je savais qu'il savait que je le regardais faire ses exercices matinaux.

D'abord la course sur son tapis roulant. Il portait toujours un débardeur moulant et un short flottant. Comme il courait et transpirait son débardeur collait à ses pectoraux massifs et ses gros tétons pointaient sous le tissu collé. Ils étaient assez gros pour que je les voie de ma fenêtre, juste en face de lui. Son short de course trempé de sueur révélait son volumineux service trois pièces que ses cuisses ballotaient de gauche à droite à chaque foulée. Quand son débardeur était trempé de sueur, il l'ôtait tout en courant et le jetait sur le sol. La sueur ruisselait sur son torse musclé.

M. Marco descendait du tapis roulant, et faisait quelques étirements et sûrement pour me taquiner enlevait son short mouillé avant de s'allonger nu sur le banc de musculation et soulever des poids. Certains autres jours, M. Marco s'asseyait sur le banc, jambes de chaque côté et faisait lentement des abdominaux son entre-jambe face à ma fenêtre. Il était probablement excité de s'exhiber ainsi devant moi car sa queue souvent se dressait, et si c'était possible, rigidifiait la mienne encore plus.

Puis il allait à la douche, mais je ne pouvais voir que ses pieds sauf quand il venait s'essuyer face à la fenêtre. Là, c'en était trop, et en effleurant à peine mon sexe je jouissais magnifiquement récupérant dans ma main que je léchais, mon sperme juvénile abondant et épais.

 

Parfois mon copain, son fils Guillaume, avec qui j'étais en Prépa Maths, venait prendre une douche avec lui et là, je n'avais même pas besoin de me toucher pour éjaculer.

J'allais quelquefois chez lui sans jamais rencontrer son père qui bossait assez tard dans la soirée.

J'aurais aimé qu'il me fasse signe, il savait qu'il m'excitait. Je me

serais faufilé dans son sous-sol et pris soin de tous ses besoins. Tout ce qu'il avait à faire était de lever les yeux vers ma fenêtre et me faire un clin d'oeil

 

Mais les mois passaient et M. Marco ignorait sadiquement mon désir.

 

Il fallait que je trouve, grâce à Guillaume, un moyen de voir son père. Guillaume, lui même avait été gâté par la nature et la déformation de son jean côté braguette était significative.

L'occasion se présenta lorsque son père lui demanda que distribuer, dans les boites à lettres, une invitation à une fête de quartier. Je me proposai de l'aider.

Il avait entreposé les tracts dans la salle de gym au sous sol. C'était l'été et le soir où nous nous y rendîmes pour écouter les explications de M Marco et connaître les zones à parcourir, j'avais mis, sans slip, un short de vélo en lycra vraiment moule-bite qui datait d'une année précédente. J'avais vraiment grandi depuis et j'avais le paquet, volumineux, franchement mis en valeur. M Marco, le remarqua...

La distribution de ce soir là finie, nous sommes descendus au sous sol reposer les tracts restants pour les jours suivants.

Voir l'équipement sportif de M Marco, fermer les yeux et prendre une longue et profonde inspiration pour sentir les riches arômes d'homme en sueur, me faisait déjà bander. La queue de Guillaume serrée, moulée, évidente, dans son pantalon en rajouta encore.

Son père, en sous-vêtement une serviette sur les épaules descendit prendre une douche, il nous à félicité et demandé ce qu'il restait à faire pour les autres soirs. Nous voyant en sueur il à proposé que nous prenions aussi une douche. Il avait sûrement remarqué nos entre-jambes suggestifs.

« Vous êtes sortis, comme ça ? Vous avez du faire peur à toutes les filles » dit-il en souriant matant et désignant nos renflements.

Sans aucune pudeur il fit glisser son slip. Quels morceaux ! Une queue superbe épaisse et longue descendant plus bas encore que les lourds testicules dans leur volumineux scrotum qui pendaient et se balançaient tandis qu'il rejoignait la douche.

Je n'étais pas loin de la syncope et j'entendis vaguement Guillaume me demander si tout allais bien.

« Putain ton Père est sacrément équipé ! » dis-je sans réfléchir

« Ouais, il bien monté... et ton père ? »

« Je ne sais pas, il est très pudique. Toi le tien, tu le vois nu souvent ? »

« Oh, oui on prend des douches ensemble, il me frotte le dos ! Maman préfère ça plutôt que de saloper la douche du haut »

Mon sexe bavait et mon lycra présentait une tache significative au niveau du gland.

Je continuais à regarder son père, et Guillaume derrière moi, qui s'en est aperçu, s'est collé à moi et à croisé ses mains sur mon sexe bandé.

«  Tu aimes le regarder, hein ? Il t'excite ? » dit-il

Je crois que j'ai répondu « oui ».... et « Arête, ton père va nous voir »

« Il sait ce que c'est, le désir des garçons »

Je voyais le sourire de M Marco nous observant.

« Déshabillons nous et allons nous doucher, c'est assez grand pour trois. » dit Guillaume. A peine dit, Guillaume queue triomphante rejoignit son père.

Je suis plus timide mais c'est maintenant ou jamais et la queue battant la mesure je les rejoins. Guillaume s'agenouille et prends ma bite dans sa bouche pendant que son père à moitié bandé, le gland décalotté sort pour se sécher. Il me fait un clin d'oeil et je vois que son sexe pointe le plafond. Mes jambes flagellent et je dois me tenir aux parois de la douche.

M. Marco laissa tomber sa serviette, il se dirigea vers son banc d'exercice et s'y coucha la bite dressée.

« Venez Guillaume et Nicolas »

Guillaume lâcha ma queue et rampa vers son père, à genoux son cul bien rond et velu vers moi. Il a pris le sexe de son père en bouche. Près d'eux je voyais à travers les mouvements des joues le travail de sa langue et ses aspirations profondes qui faisaient entrer la queue s'y profondément que parfois il avait une sorte spasme de la glotte qui la lui faisait rejeter.

« Viens Nicolas..... suce le toi aussi. » m'appela Guillaume. 

Mon « oui » timide était à peine audible mais je me suis agenouillé et j'ai pris la grosse bite de M Marco en bouche.

Guillaume qui voyait bien mon inexpérience me guidait de la parole et mimait les succions avec sa bouche.

Ma bite mouillait un max et Guillaume couché sous moi buvait, aspirait le doux liquide que mon corps gaspillait, ce qui n'était pas pour réduire mon excitation.

« Putain le sexe de Nicolas coule comme une fontaine ! » dit Guillaume

« Alors, puis-je le goûter ? » dit M Marco

Il se dégagea de ma bouche et vint se coller à mon sexe coulant avant même que j'ai réalisé que j'allais dire « oui »

«  que s'est bon ce jeune jus, presque sucré, et si doux, si désaltérant » dit-il, puis il a redirigé ma tête vers son sexe.

« Respire par le nez, relaxe tes joues, Nicolas, laisse le remplir ta bouche. Essaie d'aller jusqu'à la base et remonte lentement en serrant progressivement les lèvres. Quand tu sentiras le gland, alors tu pourras te servir de ta langue pour le caresser. »

Quelques minutes se passèrent dans le silence, sauf les bruits d'eau et de succion de ma bouche débutante.

« Ton jus était délicieux, garçon.... ton père y a-t-il goûté ? »

La bouche occupée, j'ai orienté la tête pour dire non.

« Quel dommage pour lui...

Monte sur moi, je vais prendre ta queue pendant que tu continues à sucer la mienne »

Il saisit mes hanches et avala ma queue qui continuait sa sécrétion, puis il m'aplatit sur lui et je sentis sa langue qui caressait mon anus et mes couilles puis il revenait ensuite se désaltérer à nouveau.

Je sentais la cuisse de Guillaume contre mon flanc et je sentais qu'il se branlait doucement en nous observant.

M Marco a commencé à me sucer sérieusement, enfonçant mon sexe profondément en lui et à certains moments sa langue incroyablement agile enveloppait mon gland et l'instant d'après me faisait gémir de plaisir en parcourant son sillon, elle s'enfonçait légèrement dans mon méat, puis à nouveau contre sa glotte, je sentais la palpitation de celle-ci, et ses lèvres serrées sur la hampe allaient et venaient de la base du sexe à mon gland pour me faire gémir à nouveau, mais c'était le point de non retour et dans un glapissement j'ai déchargé dans sa bouche plus que jamais je n'avais déchargé dans mes doigts, de longues fusées qui suivies d'un spasme en appelaient une autre, et un autre encore. J'ai joui plus longtemps que je n'avais jamais joui.

Mon action sur sa queue était devenue totalement anarchique néanmoins son sexe était encore plus rigide et gonflé comme si celui-ci était prêt à jaillir tant ma jouissance l'avait excité . Je repris mes esprits et m'enfonçait sa queue dans la gorge, je la sentis vibrer, des spasmes venaient des abdominaux et des cuisses et un flot tiède et visqueux en giclées successives emplit ma bouche. Un goût douçâtre, paradoxalement un peu salé, que je gardais en serrant mes lèvres sur le sexe qui progressivement devenait plus souple, puis pour la première fois j'avalais le foutre d'un autre.

Guillaume à genoux devant nous voulait savoir si nous avions aimé le goût... moi beaucoup.... et M Marco lui dit que le foutre d'un jeune homme est toujours absolument délicieux.

Il était temps que je rentre avant que mes parents ne s'inquiètent, j'avais dit que je serai tôt à la maison. Je m'habillais et me retournais pour les saluer. Père et fils étaient bien bandés côte à côte et avaient encore un joli programme en perspective..... je serais bien resté.....

« A demain Nicolas, reste sage d'ici là, nous avons encore beaucoup à faire tous les trois » dit M Marco.

 

Revenu dans ma chambre je voyais le sous-sol d'à côté je les voyais s'embrasser, se caresser et M Marco sucer la bite de Guillaume. Je n'entendais pas mais j'ai vu sur le visage de Guillaume quand il a joui...

Puis ils ont disparu vers la douche, la lumière s'est éteinte..... et je me suis branlé comme un perdu !

 

 

 

Par marc
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Mardi 7 juillet 2 07 /07 /Juil 08:24

 

Sauvage, Attila de nos trous béants.... L'hypertrophie des sexes est toujours saisissante et bandante.....

 

 

interro06

Retrait sur demande en cas de copyright.

Cliquer ci-dessous

 

L'album sauvage

Par marc
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Mardi 7 juillet 2 07 /07 /Juil 07:55

 

Il fait chaud dans cette chambre, odeurs de cuir, de poppers et de pisse... 
Je suis en sueur et inondé de ton urine tiède, allongé sur le sling, les jambes attachées le long des chaines. 
Mes yeux sont clos derrière le bandeau serré...la musique new-age est en sourdine... 
Juste une attente, une attente fébrile que tu me touches... tes doigts, enfin, se posent, à peine, sur mes tétons, une caresse... Ils frémissent et se dressent, durs, espérant être saisis, roulés, tirés du bout de tes doigts... 
Tu devines mon désir et commences à les travailler, les tordant, les tirant, de plus en plus fort, le plaisir-douleur me fait crier, mon corps est arc-bouté, ma queue raide est proche d'exploser tant sa connexion avec mes seins est intense. 
Je te sens te glisser entre mes jambes, tes doigt toujours sur mes tétons, tes lèvres, ta bouche, ta langue, caressent mon sexe rigide, vibrant... Tu me fais gémir... ta bouche reculant vers mes testicules les gobe et les tire en arrière... c'est bon... tu peux tirer encore plus fort...je bande pour toi et par tout ce que tu me fais endurer. 
Ta bouche à lâché mes couilles, et je sens ta langue, glissant vers mon oeillet mauve et ensué, ta langue douce et humide et chaude, force mon anus serré et palpitant. 
Un arrêt... je reste désirant, inassouvi..... 
Une enveloppe de capote qu'on déchire, le léger bruit crissant du latex étiré, la fraîcheur du gel dont tu m'enduis le cul, et immédiatement ta queue au gland que je connais si bien, rond et large vient s'appliquer à ma rondelle lubrifiée. Tu me pénètres sans forcer, tu es chez toi, dans ce canal chaud et doux, humide et glissant, qui se serre sur ton membre bandé. Tu me limes lentement, profondément, collant à chaque poussée, ta toison de poils très noirs contre mes couilles mouillées de sueur. 
Tu viens plus près et te penches sur moi... tes baisers, nos baisers dégoulinent de salive dans mon cou, je la sens ruisseler dans mon dos entre le cuir du sling et ma peau... 
je peux enfin attraper tes tétons, les serrer fort entre mes doigts et, toi me baisant, te maintenir courbé vers moi, gémissant à la torture que je leur inflige. 
Je sens ton excitation monter, tes coups de rein perdent de leur régularité, et tu continues de me pénétrer puissamment. Je sens que tu voudrais pouvoir rentrer plus encore en moi. Mon cul, plein ouvert, dégouline de lubrifiant et produit des bruits de succion humide pendant que tu me baises si bien... Moi aussi, je te voudrais complètement en moi..... 
Tu te retires... as-tu joui ? tu n'a pas crié ! De nouveau la fraîcheur du gel sur mon cul... et tes doigts qui viennent jouer avec les parois de mon anus, presser ma prostate excitée, et pénètrent progressivement... deux puis trois... et la paume, pouce plié, ta belle main, je la sens appuyer sur l'entrée de mon cul. Tes mouvements sont lents, doux, ils maintiennent juste une pression, pour que le muscle relaxé, rassuré, se relâche enfin... et, soudainement, à peine une légère douleur, ta main, glisse en moi jusqu'au poignet, déclenchant un gémissement de bonheur, tant le plaisir est fulgurant... 
Puis pendant un moment, ta main immobile, percevant mes spasmes de plaisir, me laisse goûter le bonheur d'être empli de toi, d'être une part de toi... Toutes mes sensations sont centrées sur cette caverne que tu emplis si bien, où je sens tes doigts commencer à se mouvoir, où ton avant bras, merveilleux piston, veut maintenant te faire pénétrer plus à fond, où tes doigts explorent la douceur de mon velours pourpre vibrant sourdement des pulsations de l'aorte dorsale. Mon bassin accompagne tes mouvements et le plaisir irradie dans tout mon coprs qui n'est que jouissance... 
Cela pourrait durer des heures, peut être.... mais je n'ai plus la notion du temps... 
Et je sens ta bouche se coller à ma queue, et très vite la liqueur lourde et visqueuse de mes couilles monte et explose dans ta bouche, pendant que mon anus se resserre violemment sur ton poignet.... 
Tu te retires avec douceur, me laissant pantelant secoué de l’anus au phallus par les spasmes d'un foudroyant orgasme 
Tu n'as pas joui.... pour, dans un moment, me laisser te donner le bonheur que je viens de vivre.. 

Marc

Par marc
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