Non catégorisé

Mardi 30 juin 2 30 /06 /Juin 13:45

 

Pour les inconditionnels de vidéo, celle qui suit déménage...

 

Louisiana Monster

 

 

Quelques images extraites de la vidéo 

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Pour les inconditionnels de vidéo, celle qui suit déménage.....

 

Vidéo

Par marc
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Mardi 16 juin 2 16 /06 /Juin 11:05

 

J'ai  trouvé ça avec le magazine "Handjob" c'est une BD de Josman .... si vous trouvez sa page officielle informez moi..... je le contacterai.

C'est comme Handjob, dans le style Dad & Son .... pour les amateurs.

 

C'est en anglais, mais vraiment sans difficultés... sinon regardez les images comme quand vous étiez petits....

 

RF - Josman 114 [Résolution de l'écran]

Images plus grandes en plein écran et circulation avec pavé fléché 

Cliquez ci-dessous

  Le-retour

Par marc
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Lundi 8 juin 1 08 /06 /Juin 22:10

 

 

L'Alphée

 

 

Le magnifique site d'Olympie, est un peu ombragé mais la chaleur de cet après-midi, était impitoyable. Je me trainais d'une ruine à l'autre, à l'heure de la sieste, le moment le plus torride, celui dont les espagnols, sans doute les grecs aussi, disent qu'on ne voit dehors que les chiens et les français.

L'Alphée, petit fleuve côtier longe la clôture sud du site et à cette époque existaient de nombreuses brèches. A l'écart des amis avec qui je me trouvais, l'une d'elles me permit d'accéder au bord de la rivière, qui s'écoulait entre ses bancs de sable. J'eus vite fait de me déshabiller, et, en slip, de me tremper dans un trou d'eau dont la fraîcheur me parut miraculeuse. Revenu sur la berge je m'étendis à même le sable dans l'ombre d'un saule. J'ai du somnoler mais je fus tiré de mon engourdissement par un étrange équipage. Un jeune paysan grec à califourchon sur son âne venait le faire boire à la rivière. Il ne m'avait pas vu avant que je le salue. Mon vocabulaire très pauvre se limitait aux politesses. Il a sauté de son âne et est venu me rejoindre à l'ombre. Nous avons débuté un dialogue de sourds-muets primitifs, d'avant la langue des signes. On arrive toujours à communiquer peu ou prou et il souhaitait que je retourne me baigner avec lui. Il en avait grand besoin, couvert de la poussière ocre des champs collée par sa sueur il paraissait plus pâle que sa peau brune hâlée au soleil dans les cultures. Il était nu pieds, une tunique déchirée sur le torse et un pantalon court comme c'est la mode aujourd'hui. Il se déshabilla et j'ai même été étonné qu'il portât un vague caleçon. Nous avons marsouiné un moment dans le courant et assis côte à côte sur le sable, dans l'eau nous avons continué nos dialogues un peu compliqués. Lorsque sa main s'est posée sur la mienne, je crus à un geste fortuit mais j'ai laissé ma main. J'étais peu averti, néanmoins ce contact m'a emballé un peu le rythme cardiaque. Il prit aussi ma main pour nous ramener nous étendre côte à côte sous l'ombrage. Parfois le bout de ses doigts se posait sur les miens et une émotion vraie m'étreignait. Je le regardais, j'étais très jeune mais lui à peine plus âgé, vingt ans peut-être. Je ne pouvais pas ne pas penser aux Kouros et Ephèbes des musées et des sites et cette rencontre se teintait de mythologie. Son caleçon en loque ne cachait rien et il était étendu telle une statue nue qui eut été de marbre brun, lisse et soyeux. Son pelage noir et fin, que j'imaginais très doux, convergeait de ses jambes entrouvertes, vers l'aine, accentuant l'ombre autour de ses bourses, nid douillet pour son sexe lourd et épais ou le prépuce froissé dépassait largement le gland dissimulé. Le mien de sexe, je ne le sentais pas aussi placide. Nous sommes restés ainsi un long moment ou j'étais dans le désir et la méconnaissance absolue de ce qui pouvait se passer. Sans la frayeur de la nymphe Aréthuse, je n'ai pas fuit lorsqu'il a reprit ma main pour me conduire à quelque distance de la rivière dans un de ses champs. Il y avait une petite cabane dans laquelle il a saisi une binette et toujours tenant ma main, il a creusé au pied d'une plante pour me montrer, ravi, une arachide qui après la fécondation fait murir ses graines en les ré-enfouissant sous la terre. Son sourire était tant éclatant que si je n'avait pas été si timide je l'eus embrassé et serré contre moi. Nous sommes revenus à la cabane, lui me guidant par le bout des doigts. Ayant tiré la porte, c'est dans l'obscurité qu'il prit mes lèvres et me serra contre lui. Conscient de ma maladresse, de mon inexpérience il me coucha sur la paillasse qui le reposait aux plus fortes chaleurs.

 

 

 

 

Post scriptum

 

Parfois dans mes petites histoires les scènes strictement « de cul » sont très brèves. Cela vient sans doute que pour moi, comme disait Clémenceau « Le meilleur moment de l'amour c'est quand on monte l'escalier ». C'est vrai, parfois, je privilégie ces moments là, l'attente, l'espérance, la tension érotique qui nous étreint, les fantasmes qu'elle suggère, le vertige qui nous assaille dans les secondes qui précèdent le contact. Quand j'étais ado, dans des dortoirs de garçons, frôler la main de mon voisin de lit, la caresser sans rien savoir de son désir à lui, progresser ainsi le long de son bras, son épaule dans la presque incertitude de son assentiment étaient les moments érotiques où l'intensité de mon désir, était poussée à l'incandescence, magma étreignant de manière oppressante ma poitrine entière. C'est ce que j'essaie de suggérer parfois, sans doute bien maladroitement dans mes petits récits. Le texte, laisse errer l'imagination et garde un pouvoir d'évocation précieux.

Ensuite c'est vrai, décrire la mécanique des gestes m'intéresse moins sauf quand ils expriment de l'émotion entre les partenaires ou lorsque l'intensité du plaisir généré par la pénétration est essentielle comme c'est le cas pour le « fist fucking ».

 

Comme sûrement beaucoup d'entre vous qui ont vu maint films de cul, je regrette vraiment que ceux-ci ne se réduisent qu'à un exercice de plomberie où la variété prévisible des positions successives permettant les emboîtements est d'une décevante monotonie et d'une absence totale d'émotion. 

Par marc
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Dimanche 7 juin 7 07 /06 /Juin 07:13
L'agence d'intérim n'avait que cela à proposer. Terrassier, je suis pas vraiment bâti pour mais il faut que je me sorte de mes nuits dehors, des squats éphémères. Essayer de bosser, remettre le bout du pied dans cette société que je déteste, freiner ma glissade vers l'alcool, la haine de moi et le suicide. A vivre entre SDF, c'est là qu'on glisse Inéluctablement. Bien sûr c'est troquer ma vie de merde contre une autre vie de merde, dans ce système à chier mais rencontrer des types, qui malgré tout essaient de s'en sortir ça va me faire du bien, au moins m'accorder des heures sans penser.

Lundi 6h, parking de Leclerc, il fait froid. J'ai repéré les autres près de la station service. Ils sont quatre. C'est la mixité, pas sociale, mais de couleur. Je suis le seul européen d'origine. Je vois bien que ça les étonne un peu.
  • Tu remplaces Nordine ? me dit un grand noir emmitouflé dans une vieille canadienne
  • j'sais pas, je viens de l'intérim. Où est ce qu'on va ?
  • Côté de la carrière de granit Gestin, on fait les fondations pour installer des bureaux.
  • C'est loin ?
  • Bah oui, et on passe quatre jours là bas, peut être la semaine si on n'a pas fini. T'imagine y vont pas faire le taxi tous les jours.
J'ai un moment d'inquiétude en pensant au logement. Je me rassure en sachant que j'ai certainement vu pire.
Le contremaître fait l'appel, lui aussi à l'air étonné de me voir.
  • Ils t'ont dit les conditions, à l'agence ?
  • Non, pourquoi ? J'ai un contrat de quatre jours.
  • Tu verras là bas
Personne ne parle, comme si parler dissipait le peu de chaleur encore en nous.
Presque une heure de route, brinquebalés sur deux banquettes face à face dans ce vieux fourgon dont les tôles font un bruit d'enfer.
-Terminus, tout le monde descend ; le contremaître fait de l'humour
Il commence à faire jour, un jour blanc, gris.
Un engin de chantier est déjà là et un type venu avec nous qu'ils appellent Mourad monte le mettre en route. Il tousse un peu, l'engin. Le contremaître nous réunit.
  • le godet va faire la fouille principale, c'est pas très profond, mais le sol un peu sablonneux s'éboule toujours, surtout vers le chemin qui part vers le haut ? Alors avec pelles et brouettes il faut me remettre ça nickel et poser les balises de limites des ouvrages.
  • On se met par deux ? Demande un type
Je vois bien à leur regard, que s'ils ont le choix, c'est pas avec moi qu'ils vont avoir envie de travailler. Je fais un peu rachitique à côté d'eux.
Finalement je fais équipe avec un maghrébin qui n'avais pas encore lâché un mot. Il me met une bourrade dans le dos, me sourit.
  • aller mec, on y va. Comment tu t'appelles, moi c'est Karim
  • Yves, j'suis de Brest.
  • Moi, Setif, mais c'est loin !
On récupère pelles et brouettes et on monte vers le chemin à dessabler.
Bon dieu, les premières heures c'est l'enfer. J'ai les muscles raides et douloureux. Karim fait trois tours quand j'en fait deux mais trouve que je me démerde pas trop mal pour un freluquet.
Le contremaître est reparti après avoir donné les directives à Mourad.

A midi, on arrête, j'avais pas pensé à prendre quelque chose, mais ici c'est la solidarité et chacun trouve une bricole à me mettre sous la dent. Alors, il y a Mourad pour l'engin, Karim avec moi, le grand noir, Joseph qui travaille avec Abdel.. Tout le monde est crevé, on parle peu mais c'est sympa.
Ca me change du désœuvrement débilitant des journées, des mois, précédents. Evidemment tous veulent savoir ce que je fous là . Les galères, ils connaissent alors quand j'emploie le mot ils ont compris même s'ils ne posent pas plus de questions.
L'après midi se passe aussi dans la douleur.
  • dis, Karim ? Après le boulot, on va où ?
  • Tu vois les Algéco en bas, y en un avec un coin qui sert de réfectoire et de l'autre côté les toilettes et les douches, l'autre cabanon, c'est pour dormir. Mourad laisse sa voiture ici, ça lui permet de se tirer le soir
  • Faudrait que j'aille faire des courses, j'ai rien
  • te bile pas, tu prendras les affaires de Nordine, de toute façon, t'as sûrement pas un rond.
C'est l'heure de débaucher. On range les outils le long de l'engin et on descend.

Je m'écroule sur une chaise, je dormirais sur place. Les autres aussi. Tous le monde est crevé et regarde ses mains. Heureusement qu'Abdel m'a prêté des gants, sinon la paume serait en sang sous les cloques. Pour la douche il faut changer d'Algéco. Je suis le mouvement, je préfère ne pas paraître bégueule et être à poil avec eux... je déteste pas de toute façon. On se dessape dans ce qui sert de réfectoire et tous, culs blancs, on cavale vers la douche car il fait plutôt frais ici. La douche, bien que seulement tiède est un bonheur. Je taxe du savon à l'un ou à l'autre et je les regarde discrètement. Ils ont des corps comme je les aime, rompus, musclés, rablés, sauf Joseph, plus jeune et plus grand. Leur muscles fatigués, laissent voir de larges veines apparentes sur les biceps et les avant bras, comme celle qui issue de la cuisse droite remonte en diagonale sur le ventre au dessus du pubis.
Tous ont des sexes épais et courts dans la mousse du savon. Joseph ne fait pas mentir les « on dit » sur le sexe des blacks.
Je vois bien que Karim à remarqué que je les matais.
Je m'essuie avec une serviette abandonnée, et rhabillé je m'affale sur une chaise, la tête dans mes bras croisés sur la table. Les autres ont retrouvé un peu d'entrain et allumé la télé dans un coin du local. On mange un peu.
Crevé, je demande où je dors... s'ensuit un conciliabule en arabe entre Abdel et Karim qui me dit
  • viens, je vais te montrer, tu prendras le duvet de Nordine.
Je le suis. Les lit sont rangés côte-à-côte le long de la cloison.
  • tu te mets ici dans le coin
  • je peux mettre mon sac dans un casier ?
  • Bien sûr ! à tout à l'heure
Je m'allonge enfin, fourbu de cette journée et m'endors avant même la nuit.

Je les entends rentrer dans un demi sommeil mais je replonge aussitôt.
Je crois que ce sont les douleurs des courbatures qui me réveillent un peu plus tard et j'essaie de trouver une position reposante. C'est Karim, à côté de moi, dans le lit tiré tout contre. Tout le monde ronfle à qui mieux mieux. Karim, fatigué, ensommeillé à quand même les yeux à moitié ouverts. Je lui souris, lui indique que j'ai mal aux épaules. Il me sourit aussi et semble plus éveillé.
Je crois avoir compris le sens de la discussion avec Abdel.
Je sens tout de suite mon sexe se gonfler, je continue à sourire, Karim aussi, mais je comprends qu'il n'osera jamais prendre l'initiative. Je lui caresse les cheveux, les joues. Il attrape ma main, l'embrasse, la lèche, et l'enfouit dans son duvet, jusqu'à son sexe dur comme l'acier. Je retire ma main, il est trop excité et va partir à la moindre caresse sur son gland. Je prends sa tête dans mes mains et cherche ses lèvres, je le sens se raidir, c'est sans doute réservé aux femmes, aux épouses, mais il na pas le choix je veux l'embrasser. Il ne résiste pas longtemps et s'ouvre à ma langue et je sens bien qu'il le désirait aussi. Il est un peu gauche et ne sait pas trop quoi faire de ses mains, qu'importe, moi je le caresse, et j'en ai du plaisir, j'espère que lui aussi. Lorsque mes doigts effleurent ses fesses velues, il ne peut réprimer un léger gémissement, et son bassin s'avance vers moi. Mes lèvres ont descendu le long de sa poitrine, de son ventre et j'ai pris son gland dans la bouche. Il a joui immédiatement, une jouissance longue, abondante, ou chaque spasme éjectait des fusées lourdes de sperme épais, odorant et salé. J'ai soigneusement lavé son sexe de ma bouche, lui ai fait une caresse sur la joue. Il était déjà endormi lorsque très rapidement aussi j'ai joui.

Le deuxième jour à été aussi très très dur. Les courbature en rajoutaient dans la douleur. Enfin le soir est arrivé.
Je voyais bien à l'air goguenard des uns et des autres qu'ils n'avaient aucun doute sur ce qui s'était passé la nuit précédente. On voyait ça aussi à la douche ou les sexes fatigués de la veille avaient un air plus guilleret. Vraiment, j'étais ému de leur gentillesse car les repas ils les partageaient avec moi. C'est vrai j'avais l'air démuni mais ils ne l'étaient guère moins. Pas question pour moi de regarder la télé, crevé, j'étais le premier couché, et à peine allongé je bandais ce qui me maintenait éveillé. Ils ne mettaient pas longtemps à venir se pieuter. Karim, lui, m'observait de son regard noir, attendant d'être sûr de l'endormissement des autres. C'est lui qui s'est avancé pour m'embrasser, sans doute le tabou était-il dissout dans son désir. Même, ses mains ont tenté quelques caresses. Je voyais bien qu'il ne savait pas comment faire.
Alors je l'ai longuement caressé, embrassé son cou, ses oreilles, blotti ma bouche au creux de ses aisselles, léché son odeur qui persistait malgré la douche, léché ses tétons épais, je les ai aspiré et caressé de ma langue. Son sexe était rigide comme hier et j'avais envie qu'il me prenne, restait le problème du préservatif. Ceux de mon sac, je les avais amenés sous l'oreiller. Je le lui ai dit à l'oreille. C'est moi qui l'ai enfilé sur son pénis mais je l'ai senti immédiatement se ramollir et entendu son soupir de déception. Tant pis, sans latex. Je l'ai à nouveau sucé et son sexe s'est érigé dans l'instant. Il m'a laissé un peu plus de temps pour m'occuper de son gland et a encore joui avec abondance en tenant ma tête collée à son ventre.

La respiration souvent trahit les tensions de ceux qui ne dorment pas. Karim, lui s'était assoupi libéré de son désir.
Je me levai pour aller au toilettes dans l'autre Algéco. Pisser me prit un long moment, le temps que mon érection cesse un peu. Le regard sur le mur crasseux, je sentit une présence derrière moi. Joseph, se tenait là, le caleçon déformé par son sexe gonflé qui sortait par la jambe droite du sous-vêtement le long de sa cuisse. Il était immobile, le regard inquiet, attendant que j'amorce un mouvement, un sourire, une invite. A la direction de mon regard, il sut. S'approcha, et ses deux bras de part et d'autre de ma tête et l'immobilisant, il m'embrassa voluptueusement, et m'écrasa de son corps contre les latrines humides encore de ma pisse tiède. Sans cesser de m'embrasser il emprisonna mes bras et malaxa mon corps, mes seins, mes fesses à la limite de la douleur. Il arracha son caleçon, me retourna, pour me maintenir collé au mur pisseux par son corps puissant. Je l'entendais déchirer l'enveloppe de la capote et son bassin se retira un peu le temps de la dérouler. Ses mains empoignèrent mes hanches, et, alors que je craignais qu'il s'enfonce sauvagement, il le fit lentement, embrassant mon cou. Son sexe long et dur, n'étais pas tant épais mais ses mouvements frappant l'intérieur du rectum étaient parfois douloureux et m'arrachait un cri sourd. Il me pénétra longtemps, longtemps, la sueur de son visage me trempait le cou et les cheveux, son torse dégoulinant appliqué à mon dos créait parfois des bruits de succion incongrus. J'ai cru qu'il ne pourrait jamais éjaculer pourtant, son rythme s'accélérant, il pris mon sexe en main et le branla, espérant que nous viendrions ensemble. Son orgasme fut brutal, puissant, il s'enfonça au plus profond, et je sentait dans mon cul les pulsation des jets qui s'échappaient de lui dans la capote. L'effort qu'il fit pour ne pas hurler le fit tomber sur mon dos, pantelant de spasmes, provoquant pour moi une jouissance si forte que mes jambes n'ont pas pu nous porter plus longtemps et essoufflés, côte à côte à moitié dans la pisse il nous fallu de longues minutes pour récupérer. Les douches étaient à côté heureusement. J'ai fini la nuit enlacé avec lui dans son petit lit..... ne récupérant le mien qu'au lever du jour.

La journée à été dure, très dure et le soir j'ai demandé à Mourad s'il pouvait me descendre au village, pour acheter quelques bricoles à manger et partager avec les autres. Il accepte et je m'assois à son côté. Il ne tarde pas à poser sa main sur ma cuisse. Jetant un œil sur sa braguette, pas de doute, il est très excité. Tout en conduisant il essaie d'ouvrir son pantalon, mais c'est impossible tant la tension est forte sur la fermeture éclair.
- arrête toi sur un parking, tu vas pas y arriver comme ça. ; je dis
il s'engage rapidement sur un chemin de terre tranquille et s'arrête.
- laisse moi faire
Il se met en extension et je peux ouvrir le pantalon et la braguette.
Sa queue est coincée dans un slip qui fut blanc, mais aujourd'hui plutôt saumon. Une odeur de vieux sperme, de pisse, de sueur se répand dans l'habitacle, phéromone puissante entre toute qui enivre, fait tourner la tête. Il tend son bassin vers moi pour que je délivre sa queue. Que je le délivre lui de ce désir qu'il a, malgré son front marqué par le sol lors de ses prières. Son sexe circoncis à un gland énorme, congestionné, violet, vibrant au rythme de son pouls qui semble s'accélérer. Je me penche vers lui et le gobe, il emplit ma bouche et ma langue est incapable de le contourner, de le caresser, je ne peux qu'aller et venir en le serrant de mes lèvres. Mourad couine déjà, lui aussi doit être sérieusement en manque. Je bande aussi comme un cerf, m'arrête une seconde et baisse mes slip et pantalon, avant de me rejeter sur son délicieux champignon,stimulé par la forte odeur de son entre-jambe qui me fait bander plus fort encore. Je sens sa main sur ma queue, mais il ne faut pas qu'il me branle trop sinon je vais jouir avant lui. Je sens à son halètement qu'il est près de venir, je ralentis mes succions mais sa main me presse sur son sexe et dans un cri qu'il lâche sans retenue, il me jouit dans la bouche. Comme Karim, le premier jour, sperme épais et abondant, s'écrasant en multiple jets au fond de mon palais. J'avale sa crème douce moins salée que celle de Karim, mais il y en a assez pour en cracher dans ma main, délicieux lubrifiant et me finir en quelques secondes moi aussi dans un cri sauvage en arrosant la boite à gants. Mourad allongé en arrière sur le dossier de son siège à encore les yeux fermés et le visage, souriant, apaisé.
  • Bon, c'est pas le tout, il faut que tu fasses tes courses, ils vont se demander ce qu'on fait. Dit-il en souriant.
  • Oui on y va, dis-je en lui rendant son sourire
Arrivé sur le parking de la supérette, il me tend un billet de dix.
- Non, Mourad, je suis pas une pute, si je l'ai fait c'est parce que j'aime ça et que tu m'excites, surtout avec ton énorme gland.
Je dis ça en souriant pour pas qu'il se vexe, et je sors de la voiture. Puis mes courses terminées, il me ramène au chantier, posant encore affectueusement sa main sur ma cuisse.

Ils boivent pas de vin, ni bière sauf peut-être Joseph, alors j'ai ramené du soda pour faire des bulles comme le champagne. Mourad reste à trinquer avec nous.
Comme les autres soirs, je suis le premier à aller me coucher et je m'endors immédiatement.
Je dormais sur le dos et je suis réveillé dans la nuit par une main qui me caresse le ventre, je crois à un rêve érotique, mais non, c'est bien une main qui tient maintenant mon sexe entre ses doigts, sexe qui durcit immédiatement. Il me branle doucement et me caresse l'intérieur des cuisses ce qui m'excite au plus haut point. Je fait semblant de dormir mais mon caressant voisin ne doit pas être dupe. Je le laisse faire, tout au plaisir qu'il me donne. Ce ne peut pas être Karim, il est trop maladroit, ni Joseph, plus direct, alors Abdel. Il est nettement plus vieux que les autres, cinquante ans passés et j'ai vu à la douche son corps de travailleur de force, beau, justement à cause de ce qu'il à vécu. Son visage a les rides de soleil des méditerranéens. Je me tourne vers lui pour faciliter ses caresses, mon mouvement ne l'a pas fait fuir, il peut maintenant caresser mes épaules, titiller mes tétons et mes très léger soupirs guident ses doigts là où je suis le plus sensible. Il a compris que mes tétons étaient ma faiblesse et que, là, ses caresses allaient me rendre dingue. Lorsqu'il les tire doucement vers lui, mon corps entier se rapproche de son corps. Je sens sa chaleur, son haleine tiède qui caresse mon épaule. Une main de temps en temps lâche un téton et descend caresser mon sexe, collé, dur, à mon ventre. Il ne fait plus de doute que je sois éveillé, je me glisse sur son lit et sens son sexe rigide. Je peux le serrer contre moi, le caresser, embrasser son cou, ses lèvres, ses yeux qu'il a fermé. Je lui donne une capote et il arrive à la mettre, il reste bandé. Je me retourne, crache dans ma main pour lubrifier un peu la fente. Son sexe épais s'appuie sur ma rondelle qui ne demande que çà pour s'ouvrir et l'accueillir. Je le sens profond en moi, il ne bouge pas, il veux durer ainsi. J'entends à mon oreille son soupir de bonheur, d'être là, chaudement enfouis et désireux d'y rester longtemps. Pour moi aussi c'est un moment délicieux d'être habité par lui, doux, et caressant. Mon sphincter palpite autour de son sexe et le serre rythmiquement un peu plus fort. Même sans bouger, ainsi, simplement serré par mon anus, je sens son plaisir croître lentement, monter encore. Ses bras m'étreignent, serré, son bassin s'accole plus fort encore à mes fesses qu'il écrase et dans un long gémissement je le sens se vider, sa bouche sur mon cou me mordille délicieusement. Mais il reste en moi, immobile, bras autour de moi, ses mains peuvent travailler mes tétons ce qui me fait jouir toujours très rapidement. Je crois que la caresse de mes seins est la stimulation la plus intense que je puisse vivre. L'orgasme vient dans une contraction musculaire qui semble intéresser la totalité de mes muscles.
Je crois avoir encore abondamment baptisé le matelas, qui déjà en avait vu d'autres. Abdel continue de me caresser. Je me retourne et l'étreins très fort enfouissant ma tête dans son cou. Lui aussi me serre très fort. Je crois que nous nous sommes endormis dans le souffle l'un de l'autre.
Le lendemain nous avons fini le chantier en début d'après-midi, et affaires rangées nous attendons le fourgon. La semaine à été dure mais les rencontres vraiment inattendues ont été de vrais bonheurs. Personne n'a été dupe de l'agitation nocturne, ils me regardent en souriant et moi aussi pour chacun j'ai un sourire ou se mêle le regret de les quitter les uns et les autres. Physiquement ça m'a fait aussi beaucoup de bien, ces efforts musculaires, le moral sans ressent. Je vais essayer de m'en tirer sans retourner à la rue. Ils m'ont beaucoup aidé, avec même leur simple solidarité.
A l'arrivée, on se dit au-revoir, avec les yeux pétillants au souvenir des plaisirs que chacun à partagé avec moi. Espérant avoir la chance que l'intérim nous réunissent à nouveau.... rien n'est moins sûr.
Ils ont un autre chantier le lendemain. Nous nous quittons, mais Abdel revient vers moi et dans un sourire :
- si tu n'as nulle part ou aller ce soir, viens avec moi. Je vis seul. Ca me ferait plaisir d'être avec toi.
Je lui souris et je le suis.

 

Marc
Par marc
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Dimanche 7 juin 7 07 /06 /Juin 07:10

 

1


En arrivant à la maison d'arrêt, on passe au greffe. On refait, à nouveau, tout le bazar de l'identification judiciaire, interrogatoire pour les signes particuliers, prise d'empreinte de toute la main et tu récupères ton numéro d'écrou, c'est un matricule comme ton numéro de sécu.

Après c 'est la fouille, tu te déshabilles complètement, à poil devant le mec qui te détaille, te fait lui tourner le dos, te courber et tousser, au cas ou t'aurais un truc dans le fion. On examine tous tes vêtements. Tu abandonnes tes percings si tu en as, ils ont gardé ma boucle d'oreille. On ne te rend que le nécessaire; heureusement on m'avait prévenu, pantalon sans ceinture et tennis à scratch. Pour ne pas se pendre, pas de ceinture ni lacets.

Ensuite tu reçois ton paquetage, literie, PQ et affaires de toilettes, des étiquettes dont je n'ai pas compris l'utilité - mais, je n'ai pas osé redemander - et les couverts avec un couteau à bout rond.

Le paquetage dans un carton ça aurait été un peu plus pratique mais non il faut maintenir le tout en équilibre, sans rien laisser tomber, jusqu'à la cellule. T'as l'air con en arrivant les bras chargés. Tant de portes et des serrures et le bruit des clés.

Ma cellule au fond d'une coursive au deuxième étage est probablement banale, au fond une table au fond sous la fenêtre mais seulement deux chaises, à droite un lavabo, des étagères pour nos fringues, et un WC limité par un muret bas. La pudeur, tu oublies. De l'autre côté deux lits superposés, on aurait pu être quatre, mais mes deux co-detenus, sont, là assis, sur les lits du bas. Et la porte se referme...

  • bonjour, je dis.

C'est le plus grand qui me répond. Un mec barraqué, la cinquantaine, couvert de tatouages compliqués sur les bras, et quelques balafres sur le visage. Une tronche de légionnaire, qu'il a d'ailleurs été.

En tôle, tu n'es jamais anonyme, même avant d'arriver. Il m'a sorti mon curriculum vitae. Je n'avais rien à ajouter, pas même les galères et les aléas d'un procès tordu.

  • Je m'appelle Branco, je suis serbe. Vols à main armée. J'en ai pour huit ans, reste trois. Lui, c'est Youcef, je l'appelle Youf.

  • Salut Youcef

  • Salut répond-il à voix basse.

C'est un beau mec, belle gueule, la trentaine, noir de regard et de poils

  • Lui il a plongé pour le deal, il lui reste deux ans. Ses parents tunisiens, sans un rond, n'ont pas pu l'aider, tu ajoutes un avocat nul et un juge de mauvaise humeur. Pas eu de bol.

Et il ajoute avec un petit sourire :

  •  
    • il est à mon service, tout mon service...

 

La bouffe du soir arrive, mangeable. Pour la télé il faut partager le prix à trois, que tu aies envie de regarder ou pas.

Je grimpe faire mon lit au dessus de youcef, sans faire trop de bruit pour ne pas les gêner.

C'est bientôt l'extinction des feux et dodo. Je me déshabille sur ma couchette, et me glisse dans les draps, eux le font sans gêne debout devant leur lit. Ils me tournent le dos, nus. J'ai la queue qui durcit.

Branco se retourne pour aller pisser. Putain ! Il est équipé d'un manche de pioche qui pend jusqu'à mi-cuisse et ses tétons sont épais comme mon pouce. Il pisse d'un jet large, puissant, cascade résonnant sur l'eau et la faïence, dispersant l'odeur forte, excitante, des urines longtemps retenues. Sans cesser de les regarder, je me tourne sur le flanc pour dissimuler le chapiteau créé par ma queue résolument rigide sous les draps. Youcef me fait un petit signe avant de se pieuter, il est aussi beau face que pile. Branco s'essore en glissant ses doigts serrés, lentement, le long de l'urètre pour extraire jusqu'à la dernière goutte, étirant son sexe impressionnant qu'il secoue brièvement. Lui aussi, souriant, me fait un signe amical avant de se coucher.

 

La télé et la lumière s'éteignent enfin. J'ai pas du tout envie de dormir, mais je fais comme si. Probablement je perturbe leur routine. Bien que moins bruyante que la journée, la nuit en tôle, est loin d'être silencieuse. En tout cas, à l'intérieur de notre cellule c'est le silence. Si je bandais moins je pourrais peut-être m'endormir.... je vais attendre un peu et me branler, sinon, c'est la nuit blanche. J'attends d'entendre, en dessous, leur souffle apaisé de dormeurs, mais pas encore... et pour cause Branco se lève silencieusement et va se glisser le long de Youf. Un vague chuchotis. Je crois comprendre que youcef est un peu gêné et préfèrerais remettre à plus tard mais il se résigne sans trop se faire prier « oui, vas-y, mais très lentement ! ». Des lits métalliques superposés ne sont vraiment pas propices à des ébats discrets. Branco y va doucement car je n'entends que de très faibles gémissements de plaisir sauf quelques cris étouffés lorsque emporté par le feu de l'action son braquemart frappe un peu durement au plus profond de la chatte de Youf. Pas si facile dans un lit de 80, ventre contre dos, de baiser discrètement, surtout avec un pal de la taille de celui de Branco.

De les entendre juste sous moi, de sentir les vibrations des lits, de suivre, l'oreille tendue, la progression de leur plaisir, le rythme des pénétrations et des halètements tend ma queue à la limite de l'explosion et j'essaie de me branler en me calant sur leur rythme, légèrement pour ne pas jouir trop tôt. Il m'est quand même impossible de le faire avec une totale discrétion.

Au fond, qu'ils comprennent que je me branle excité par ce qu'ils me laisse imaginer, je ne suis pas contre. Certainement, pour Branco, baiser avec Youcef était une manière de me signifier, dès ma première nuit avec eux, l'imprégnation sexuelle du lieu, une manière de marquer un territoire.

L'armature des lits trahit la fréquence et l'amplitude de plus en plus grande des coups de queue de Branco, soulignés par les cris étouffés de Youf mordant son traversin. J'imagine son cul noir de poils dilaté à l'extrême, faisant apparaître son anus distendu comme un collier rose autour de l'énorme sexe qui le pilonne avec régularité. La sueur qui les inonde, et sans doute la salive du serbe s'écoulant au dos de Youcef provoque de profonds bruits de succion. J'essaie de ne plus me toucher, d'attendre, mais ma queue vibrante n'en peux plus, dans ma tête le désir de jouir occupe tout l'espace. Brutalement mon orgasme n'est plus contrôlable et dans un long gémissement sonore mon torse et mon visage sont balayés par des jets de foutre lourd et visqueux, sur mon front, sur mes joues, sur mon nez, dégoulinures que ma langue récupère, comme elle lèche mes doigts lui ramenant le sperme de mon torse... Ma jouissance a déclenché la leur, un cri de Branco qui s'étouffe sur l'épaule de Youf qui jouit dans un sanglot hoqueté.

 

Le lendemain matin, au petit déj ou ce qui en tient lieu, Branco me regarde l'air goguenard et me dit «Salope ! Tu t'es rincé l'oreille et t'as bien joui hier soir. Il faudra pas rester dans ton coin. ». Youf se marre carrément. Il débarrasse la table, fait la vaisselle passe un coup d'éponge, de balai et la serpillère par terre. La cellule, si exiguë, en paraît presque habitable.

 

A la promenade je demande à Youcef pourquoi il fait l'esclave. « Pas eu vraiment le choix. Branco, personne ne lui cherche des noises et le deal c'était ça ou pas de protection. Le cul c'est venu après, et t'as vu comme il est monté, je peux te dire que je flippais. Je suis entré ici, pur hétéro, je suis pas sûr de l'être encore. Il a pas l'air comme ça, mais il a su me le mettre doucement et progressivement. Maintenant ça va, et même ça me manquerait si on pieutait pas ensemble. »

 

Plus tard, dans la soirée, revenus en cellule Branco me dit :

  • à la télé pendant ton procès on a vu que tu parlais bien, que t'étais instruit et que tu t'y connais pour parler avec les juges et les avocats. Parler, moi, ça va, mais écrire, je savais en cyrillique mais pas en français, Youf est pas très bon non plus. Tu pourras nous aider pour les courriers ?

  • Bien sûr, je le ferai dès que vous aurez besoin.

La dessus il me serre la main, un étau sa main !

Par marc
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