J'ai adapté et traduit ce texte d'une revue américaine spécialisée dans le style "Dad & Son", trouvée par hasard en fouinant le le net.
Cette revue s'appelle "Handjobs" et c'est dans la série "Bedtime tales"
Je me suis réveillé en sueur avec des démangeaisons partout et vraiment fortes dans les fesses. Je n'avais jamais ressenti
cela et ne savais quoi faire.
Je reste là à essayer de penser à ce qu'il faut faire quand papa frappe à la porte de la chambre. Depuis que j'avais
eu 18 ans il frappait toujours avant d'entrer.
-
ça va Ronnie ?
-
Ouais, entre.
Il est venu jusqu'à mon lit et il pose sa main sur mon front. .
-
tu es en sueur, tu te sens fiévreux ?
-
Non, j'ai fait un cauchemar
-
je t'ai entendu gémir.
Il s'est assis sur le bord de mon lit
-
tu ne te souviens pas de ton rêve ?
-
Non, c'était juste bizarre et maintenant je sens des démangeaison partout.
-
T'as peut être une éruption de boutons.
Papa a tourné la lampe vers le lit et tiré les draps vers le bas. J'ai la bite raide
Il a passé la main sur mon torse et sur mes cuisses à la recherche de petits boutons. Ma bite s'est redressée
aussitôt.
Je ne peux rien répondre tant j'ai la gorge sèche? Sa main est encore entre mes cuisses, sous mes couilles
Elle est raide et vibre accordée à mon pouls qui s'est nettement accéléré. En ramenant sa main de mon entre-cuisse, il la
passe lentement sur mon sexe qui par ses battement s'est collé à sa paume, la mouillant d'une goutte de sécrétion claire. J'ai cru, j'avais envie qu'il la saisisse, mais non. Il s'est seulement
essuyé sur mon gland décalotté ce qui m'a arraché un soupir sans équivoque.
Il m'a regardé dans les yeux, interrogatif. Je les ai fermé. Il a caressé mon gland quelques secondes et m'a demandé si ça
démangeait toujours autant. Comme lorsqu'on fait un baiser à un enfant là où il s'est cogné, et qu'il n'a plus mal, c'est magique.
-
Pas autant, mais mon cul me démange encore beaucoup
-
Alors, il vaut mieux vérifier s'il y a une éruption, mets toi sur le ventre
Il m'a mis un traversin sous le bassin. J'avais les fesses en l'air et il me les a écartées avec ses mains
Il s'est approché, et je sentais son souffle sur mon trou du cul. Il a écarté encore un peu et avec ses doigts à étiré mon
anus.
J'ai senti quelque chose de doux, chaud et humide sur mon trou du cul et tout autour. De longs frissons me parcourent le
dos et j'ai réalisé qu'il me lèche le trou. Je me sens si bien, j'ai les yeux fermés et j'ai soulevé le bassin et écarté les jambes pour le sentir mieux encore. Il m'a léché longtemps, forçant
mon anus de sa langue. Je dois avoir trempé le traversin tellement je sens ma bite couler.
Papa m'a roulé sur le dos. Elle est rigide et palpitante. Il doit pouvoir se désaltérer avec tout le liquide qu'elle laisse
s'écouler et qu'il aspire entre ses lèvres sur mon gland comme s'il suçotait un bonbon. Je tremble de tout mon corps alors Papa a pris toute ma queue dans sa bouche et m'a sucé très fort en
la parcourant de la base au gland. Lorsqu'il à pris mes couilles dans ses mains, j'ai explosé et criant. Tout mon corps est contracté, même mes orteils se sont recroquevillés pendant que je
remplis de foutre la bouche de Papa, en longues giclées successives. Il a gardé ma queue en bouche jusqu'à mes dernier spasmes, s'est redressé et a dégluti mon sperme en me souriant. Il s'est
approché pour embrasser mon font en me disant :
Sa queue déforme largement son pantalon de pyjama et une large tache de sécrétion s'y étale. Il va éteindre la lampe de
chevet lorsque instinctivement j'ai approché mon visage de son sexe.
Il a baissé son pantalon et j'ai pris sa bite gluante entre mes lèvres, ça aussi c'est instinctif, je me suis mis à le
sucer. Il m'a enjambé et à califourchon sur ma poitrine, chatouillé par les poils drus de son cul et de ses couilles, j'ai pris sa queue tendue dans ma bouche, l'aspirant et comme lui glissant de
la base jusqu'au gland. Il a fait comme un gloussement, un sanglot et j'ai su que ça venait. Alors j'ai bien serré les lèvres sur sa tige pour que rien ne se perde de ma bouche. Son jus épais,
crémeux, me remplissait, l'odeur m'inondait, putain que j'aimais ça !
J'ai quand même eu du mal à m'endormir, tant j'imaginais la promesse du week-end. Il a fallu que je me branle pour laisser
le sommeil venir.
Ma bite était encore palpitante après avoir quitté la chambre de Ronnie. J'ai encore le goût de son sperme sur la langue.
Peut-être tout cela est-il un rêve ?
Avant de retourné au lit avec ma femme, je suis allé me brosser les dents. Non, ce n'est pas un rêve, cela a vraiment eu
lieu. Je me suis souvenu des nombreux souvenirs agréables partagés avec mon propre père.
Le lendemain je bosse de soirée à l'usine et je suis rentré après minuit. La maison est silencieuse. Pour ne pas faire de
bruit je me suis déshabillé dans la buanderie. J'ai laissé mes vêtement et je suis monté, à poil, silencieusement, à la salle de bain, à côté de ma chambre. En passant j'ai écouté, l'oreille
contre la porte de Ronnie. Il n'y avait aucun bruit. En repensant à sa queue dans ma bouche et au goût de son sperme, ma bite a durci et s'est dressée.
Silencieusement, j'ai ouvert sa porte et je suis entré dans sa chambre. Il y a un clair de lune qui l'éclaire de sa douce
lueur bleutée. Je suis allé jusqu'à son chevet, me suis mis à genoux à côté de lui. Il est devenu un très beau jeune homme, aux épaules et au torse musclé par le sport. Il dort nu comme je le
faisais étant jeune, j'aimais le contact, le frottement des draps qui me faisaient jouir pendant mon sommeil ou même sans dormir.
J'ai délicatement soulevé les draps pour ne pas le réveiller mais pour continuer de l'admirer, mon garçon.
Il a cligné des yeux, m'a regardé le regardant et dans un sourire complice m'a dit
-
c'est déjà le week-end ?
-
J'ai peur que ça te gratte trop et que ça t'empêche de te reposer.
-
Oui, ça me démange beaucoup.
-
Alors, il vaut mieux que je voie ça.
Il s'est mis sur le ventre et soulevant son bassin, a levé ses fesses vers moi. Je les ai écartées et j'ai contemplé sa
fleur serrée, comme en bouton. J'ai enfoui mon visage entre ses fesses duveteuses et j'ai dévoré son trou comme mon père le faisait, à me faire défaillir.
-
Il démange encore ?
-
Pas autant, encore un peu, mais ça me fait beaucoup de bien.
-
Sans doute, il faut aller plus en profondeur dans le cul.
J'ai abondamment lubrifié l'anus de ma salive et commencé à le fouiller, écartant son trou serré avec mes doigts et les
plongeant à l'intérieur. Ma bite coule de sécrétion comme une fontaine. J'ai gardé son trou entre-ouvert et amené mon gland au-dessus. Avec le flux régulier de pré-jus, mes doigts glissent
foutrement mieux.
Ronnie, la tête enfouie dans l'oreiller, a ses mains dans le dos et joue avec ma bite et mes couilles, ses doigts caressent
son trou glissant. Je m'empare de sa main et pousse ses doigts à l'intérieur.
Le cul soulevé comme il l'avait, je pouvais étreindre son bassin, tenir sa bite rigide, juteuse et ses couilles dans mes
mains.
-
tâte ton trou, tu vois comme c'est glissant ? Je vais te faire une injection
-
Maintant ?
-
Oui, maintenant... après tu te sentiras beaucoup mieux.
Ronnie à sorti les doigts de son cul, attrapé ma bite, et la plaqué contre son anus lubrifié. Puis ses mains posées sur mes
fesses, il me colle à lui pendant que je m'enfonce centimètre par centimètre.
Je voulais que mon garçon sente la bite de son père le pénétrer pour la première fois. Qu'il se souvienne de la douceur de
ce moment comme ce fut le cas avec mon père.
Ronnie a laissé échapper un profond soupir, presque un gémissement lorsque ma bite entièrement plongée en lui, il a senti
mes couilles contre ses fesses. Je suis resté immobile en lui, il ne peut ressentir que les seules palpitations de ma queue tendue à l'extrême. Longtemps nous sommes restés ainsi, sa queue dans
ma main, trempant mes doigts de l'intensité de son désir. La mienne à l'identique s'épanchant continûment, noyant son rectum de mon lubrifiant.
Sentant sa bite se rigidifier, durcir comme de l'acier, j'ai lentement reculé en dedans de lui, puis me suis enfoncé à
nouveau comme si tout mon amour pour lui s'était concentré en ces infimes mouvements, noyau étincelant, irradiant.
A peine un gargouillis guttural accompagne la contraction brutale de son corps lorsqu'il vient dans mes doigts en longues
et abondantes fusées gluantes. Son sphincter qui m'écrase me fait exploser aussitôt. Affalé, pantelant sur mon garçon, mon cri s'est éteint contre son dos.
Dans la chambre l'odeur intense du foutre est notre vitale atmosphère, roulés sur le côté, nos mains étalent sur nos corps
le jus qui en vient, et qui s'en écoule et dont nous voulons nous imprégner.
Son corps est maintenant blotti contre ma poitrine, comme autrefois l'enfant qu'il fut.
-
Je n'ai plus les fesses qui me grattent, me sussure-t-il à l'oreille
-
Si tu as besoin d'un autre traitement, n'hésite pas.