Lundi 11 mai
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16:29
J'essaie de me rendre à Berlin tous les ans. Il est quelquefois difficile de dire pourquoi on aime un lieu, une ville, et
Berlin est de ces villes là. Pas beaucoup de faste architectural ancien à part le Gendarmenmarkt et l'ile des musées mais un terrain de jeu extraordinaire pour les plus géniaux architectes
contemporains. Il y avait tout à reconstruire.
La première année où j'y suis venu il avait énormément neigé, et cela continuait. Il neigeait même à Roissy et je pensais
que mon vol Lufthansa serait retardé voir même annulé, en fait je suis arrivé à Tegel à l'heure prévue. J'avais repéré quels bus prendre pour arriver au studio que j'avais loué. La
Eisenacherstrasse était couverte d'un épais manteau de neige. Il régnait un silence étrange, pas de voitures, quelques cyclistes prudents. L'appartement était parfaitement ce qu'il me fallait avec
un grand lit et une cuisine suffisante pour ce que je prévoyais : au mieux cuire des saucisses de toutes sortes et un frigo pour l'innombrable diversité des bières.
Grâce à Gayroyal j'avais pris un certain nombre de contacts, repéré les bars gay de Shöneberg, mon quartier. Tous étaient
à proximité..
Dès le premier soir, je suis allé au XXX un bar cuir de Fuggerstrasse. La chaleur, la moiteur à l'intérieur contrastait
avec le froid vif qui avait succédé à la neige. Au bar, je commande une bière, assis à côté d'un habitué, pas trop déguisé, qui me demande d'où je viens... à ma réponse en baragouin allemand les
barmen ont vite compris qu'il valait mieux passer à l'anglais. Finalement on a pu discuter en triangulaire. Un accueil comme ça met vite à l'aise.
Le mec me plaisait bien, mais avec lui, seul l'allemand était possible. J'ai essayé de tourner une phrase pas trop
incorrecte pour le lui dire ( totalement incorrecte en fait) mais il a bien compris et m'entraîne vers la backroom.
Nous avons pu goûter par nos salives les bières différentes que nous avions bues. Coincé dans un renfoncement du sombre
couloir par son corps, plus grand que moi, sa salive coulait dans ma bouche. Comment pouvait-il en avoir autant.? J'aimais cela et je bandais très à l'étroit dans mon jean. Mes bras immobilisés je
sentais ses mains remonter sous mes vêtements et attraper mes tétons. Ma queue n'en pouvait plus. Nos bouches toujours accolées il percevait mes gémissements de gorge, et me travaillait les seins
dans un crescendo divin pour revenir aux délicates caresses et brusquement me les tirer et les tordre à m'en faire hurler, ce que je ne faisait pas mais mon corps l'exprimait. Il a cessé de
m'immobiliser et brutalement ôté pull et maillot, pour me sucer avidement les tétons. Ses mains caressaient mes fesses à travers le pantalon, et mes tentatives de le caresser étaient stoppées pas
une claque sur la main... il voulait seul me dominer ainsi et il le faisait bien. Il avait compris à quel point il faut s'abandonner aux caresses de l'autre pour n'en perdre rien.
Il a baissé mon pantalon et le slip tendu par ma queue rigide et palpitante et s'est abouché à mon sexe essayant de le
prendre dans son entier avec un grande douceur. Ses doigts continuaient de me triturer les tétons. Ainsi je deviens fou et j'ai été obliger de le repousser avec violence pour qu'il ne me fasse pas
jouir. Je l'ai tiré vers ma bouche pour l'embrasser encore et à mon tour je l'ai poussé vers le mur. Il s'est laissé faire. Je lui ai tout de suite ôté le haut. Il avait des tétons magnifiques,
trois fois gros comme les miens, étonnamment durs pour leur taille. Simplement les voir m'a donné un rigidité d'acier. Je les avais à peine effleurés que dans son souffle haletant s'entendait comme
un léger feulement. Pendant un moment je les ai longuement caressés du bout des doigts, de ma paume ouverte, symétriquement, parfois j'en prenais un puis l'autre en bouche, les caressant de ma
langue et me retirant en serrant les lèvres. Ses feulements n'étaient déjà plus un murmure. Alors, longtemps, je les ai roulés entre mes doigts, en serrant progressivement tout en tirant un peu.
Son buste arcbouté tendant ses seins vers moi me montrait à quel point il en voulait encore. L'intensité de son plaisir me rendait moi même dingue et je sentais sur ma queue dressée couler le
liquide séminal. Mes doigts serraient de plus ses tétons en les tordant, à presque en avoir des crampes, je les tirais sauvagement accordé au rythme de ses cris rauques de bête sauvage.
Soudain il dégagea ses bras baissa son jean, empoigna mes cheveux, me rentra sa bite épaisse au plus profond de la gorge
et de suite, dans un grognement sourd, il jouit, encore, encore, longuement dans ma bouche qui se délectait de son lait. Ni lui ni moi n'avions envie de quitter cette position, son sexe au chaud
dans ma bouche et ma langue tactile caressant son membre épais qui peu à peu se relâchait.
Il savait qu'il n 'aurait pas grand chose à faire pour mon plaisir. Sa langue avait repris ma langue échangeant le
goût de son sperme, ses doigts avaient repris mes tétons, et à mes gémissements il sut quand me prendre en bouche et recevoir mon jus brûlant.
De retour au comptoir, les sourires narquois des clients et des barmen répondaient à nos sourires béats de satisfaction.
Il échangèrent quelques plaisanteries en allemand que l'on me traduisit. J'ai cru comprendre qu'il avait dit que j'étais un bon coup. Il ne m'a pas fallu de gros efforts de mime pour lui signifier
que lui aussi.
Bis bald Ralf...... Ich hoffe.
Marc