Pour les inconditionnels de vidéo, celle qui suit déménage...
Quelques images extraites de la vidéo
Pour les inconditionnels de vidéo, celle qui suit déménage.....
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Pour les inconditionnels de vidéo, celle qui suit déménage.....
J'ai trouvé ça avec le magazine "Handjob" c'est une BD de Josman .... si vous trouvez sa page officielle informez moi..... je le contacterai.
C'est comme Handjob, dans le style Dad & Son .... pour les amateurs.
C'est en anglais, mais vraiment sans difficultés... sinon regardez les images comme quand vous étiez petits....
Images plus grandes en plein écran et circulation avec pavé fléché
Cliquez ci-dessous
L'Alphée
Le magnifique site d'Olympie, est un peu ombragé mais la chaleur de cet après-midi, était impitoyable. Je me trainais d'une ruine à l'autre, à l'heure de la sieste, le moment le plus torride, celui dont les espagnols, sans doute les grecs aussi, disent qu'on ne voit dehors que les chiens et les français.
L'Alphée, petit fleuve côtier longe la clôture sud du site et à cette époque existaient de nombreuses brèches. A l'écart des amis avec qui je me trouvais, l'une d'elles me permit d'accéder au bord de la rivière, qui s'écoulait entre ses bancs de sable. J'eus vite fait de me déshabiller, et, en slip, de me tremper dans un trou d'eau dont la fraîcheur me parut miraculeuse. Revenu sur la berge je m'étendis à même le sable dans l'ombre d'un saule. J'ai du somnoler mais je fus tiré de mon engourdissement par un étrange équipage. Un jeune paysan grec à califourchon sur son âne venait le faire boire à la rivière. Il ne m'avait pas vu avant que je le salue. Mon vocabulaire très pauvre se limitait aux politesses. Il a sauté de son âne et est venu me rejoindre à l'ombre. Nous avons débuté un dialogue de sourds-muets primitifs, d'avant la langue des signes. On arrive toujours à communiquer peu ou prou et il souhaitait que je retourne me baigner avec lui. Il en avait grand besoin, couvert de la poussière ocre des champs collée par sa sueur il paraissait plus pâle que sa peau brune hâlée au soleil dans les cultures. Il était nu pieds, une tunique déchirée sur le torse et un pantalon court comme c'est la mode aujourd'hui. Il se déshabilla et j'ai même été étonné qu'il portât un vague caleçon. Nous avons marsouiné un moment dans le courant et assis côte à côte sur le sable, dans l'eau nous avons continué nos dialogues un peu compliqués. Lorsque sa main s'est posée sur la mienne, je crus à un geste fortuit mais j'ai laissé ma main. J'étais peu averti, néanmoins ce contact m'a emballé un peu le rythme cardiaque. Il prit aussi ma main pour nous ramener nous étendre côte à côte sous l'ombrage. Parfois le bout de ses doigts se posait sur les miens et une émotion vraie m'étreignait. Je le regardais, j'étais très jeune mais lui à peine plus âgé, vingt ans peut-être. Je ne pouvais pas ne pas penser aux Kouros et Ephèbes des musées et des sites et cette rencontre se teintait de mythologie. Son caleçon en loque ne cachait rien et il était étendu telle une statue nue qui eut été de marbre brun, lisse et soyeux. Son pelage noir et fin, que j'imaginais très doux, convergeait de ses jambes entrouvertes, vers l'aine, accentuant l'ombre autour de ses bourses, nid douillet pour son sexe lourd et épais ou le prépuce froissé dépassait largement le gland dissimulé. Le mien de sexe, je ne le sentais pas aussi placide. Nous sommes restés ainsi un long moment ou j'étais dans le désir et la méconnaissance absolue de ce qui pouvait se passer. Sans la frayeur de la nymphe Aréthuse, je n'ai pas fuit lorsqu'il a reprit ma main pour me conduire à quelque distance de la rivière dans un de ses champs. Il y avait une petite cabane dans laquelle il a saisi une binette et toujours tenant ma main, il a creusé au pied d'une plante pour me montrer, ravi, une arachide qui après la fécondation fait murir ses graines en les ré-enfouissant sous la terre. Son sourire était tant éclatant que si je n'avait pas été si timide je l'eus embrassé et serré contre moi. Nous sommes revenus à la cabane, lui me guidant par le bout des doigts. Ayant tiré la porte, c'est dans l'obscurité qu'il prit mes lèvres et me serra contre lui. Conscient de ma maladresse, de mon inexpérience il me coucha sur la paillasse qui le reposait aux plus fortes chaleurs.
Post scriptum
Parfois dans mes petites histoires les scènes strictement « de cul » sont très brèves. Cela vient sans doute que pour moi, comme disait Clémenceau « Le meilleur moment de l'amour c'est quand on monte l'escalier ». C'est vrai, parfois, je privilégie ces moments là, l'attente, l'espérance, la tension érotique qui nous étreint, les fantasmes qu'elle suggère, le vertige qui nous assaille dans les secondes qui précèdent le contact. Quand j'étais ado, dans des dortoirs de garçons, frôler la main de mon voisin de lit, la caresser sans rien savoir de son désir à lui, progresser ainsi le long de son bras, son épaule dans la presque incertitude de son assentiment étaient les moments érotiques où l'intensité de mon désir, était poussée à l'incandescence, magma étreignant de manière oppressante ma poitrine entière. C'est ce que j'essaie de suggérer parfois, sans doute bien maladroitement dans mes petits récits. Le texte, laisse errer l'imagination et garde un pouvoir d'évocation précieux.
Ensuite c'est vrai, décrire la mécanique des gestes m'intéresse moins sauf quand ils expriment de l'émotion entre les partenaires ou lorsque l'intensité du plaisir généré par la pénétration est essentielle comme c'est le cas pour le « fist fucking ».
Comme sûrement beaucoup d'entre vous qui ont vu maint films de cul, je regrette vraiment que ceux-ci ne se réduisent qu'à un exercice de plomberie où la variété prévisible des positions successives permettant les emboîtements est d'une décevante monotonie et d'une absence totale d'émotion.
1
En arrivant à la maison d'arrêt, on passe au greffe. On refait, à nouveau, tout le bazar de l'identification judiciaire, interrogatoire pour les signes particuliers, prise d'empreinte de toute la main et tu récupères ton numéro d'écrou, c'est un matricule comme ton numéro de sécu.
Après c 'est la fouille, tu te déshabilles complètement, à poil devant le mec qui te détaille, te fait lui tourner le dos, te courber et tousser, au cas ou t'aurais un truc dans le fion. On examine tous tes vêtements. Tu abandonnes tes percings si tu en as, ils ont gardé ma boucle d'oreille. On ne te rend que le nécessaire; heureusement on m'avait prévenu, pantalon sans ceinture et tennis à scratch. Pour ne pas se pendre, pas de ceinture ni lacets.
Ensuite tu reçois ton paquetage, literie, PQ et affaires de toilettes, des étiquettes dont je n'ai pas compris l'utilité - mais, je n'ai pas osé redemander - et les couverts avec un couteau à bout rond.
Le paquetage dans un carton ça aurait été un peu plus pratique mais non il faut maintenir le tout en équilibre, sans rien laisser tomber, jusqu'à la cellule. T'as l'air con en arrivant les bras chargés. Tant de portes et des serrures et le bruit des clés.
Ma cellule au fond d'une coursive au deuxième étage est probablement banale, au fond une table au fond sous la fenêtre mais seulement deux chaises, à droite un lavabo, des étagères pour nos fringues, et un WC limité par un muret bas. La pudeur, tu oublies. De l'autre côté deux lits superposés, on aurait pu être quatre, mais mes deux co-detenus, sont, là assis, sur les lits du bas. Et la porte se referme...
bonjour, je dis.
C'est le plus grand qui me répond. Un mec barraqué, la cinquantaine, couvert de tatouages compliqués sur les bras, et quelques balafres sur le visage. Une tronche de légionnaire, qu'il a d'ailleurs été.
En tôle, tu n'es jamais anonyme, même avant d'arriver. Il m'a sorti mon curriculum vitae. Je n'avais rien à ajouter, pas même les galères et les aléas d'un procès tordu.
Je m'appelle Branco, je suis serbe. Vols à main armée. J'en ai pour huit ans, reste trois. Lui, c'est Youcef, je l'appelle Youf.
Salut Youcef
Salut répond-il à voix basse.
C'est un beau mec, belle gueule, la trentaine, noir de regard et de poils
Lui il a plongé pour le deal, il lui reste deux ans. Ses parents tunisiens, sans un rond, n'ont pas pu l'aider, tu ajoutes un avocat nul et un juge de mauvaise humeur. Pas eu de bol.
Et il ajoute avec un petit sourire :
il est à mon service, tout mon service...
La bouffe du soir arrive, mangeable. Pour la télé il faut partager le prix à trois, que tu aies envie de regarder ou pas.
Je grimpe faire mon lit au dessus de youcef, sans faire trop de bruit pour ne pas les gêner.
C'est bientôt l'extinction des feux et dodo. Je me déshabille sur ma couchette, et me glisse dans les draps, eux le font sans gêne debout devant leur lit. Ils me tournent le dos, nus. J'ai la queue qui durcit.
Branco se retourne pour aller pisser. Putain ! Il est équipé d'un manche de pioche qui pend jusqu'à mi-cuisse et ses tétons sont épais comme mon pouce. Il pisse d'un jet large, puissant, cascade résonnant sur l'eau et la faïence, dispersant l'odeur forte, excitante, des urines longtemps retenues. Sans cesser de les regarder, je me tourne sur le flanc pour dissimuler le chapiteau créé par ma queue résolument rigide sous les draps. Youcef me fait un petit signe avant de se pieuter, il est aussi beau face que pile. Branco s'essore en glissant ses doigts serrés, lentement, le long de l'urètre pour extraire jusqu'à la dernière goutte, étirant son sexe impressionnant qu'il secoue brièvement. Lui aussi, souriant, me fait un signe amical avant de se coucher.
La télé et la lumière s'éteignent enfin. J'ai pas du tout envie de dormir, mais je fais comme si. Probablement je perturbe leur routine. Bien que moins bruyante que la journée, la nuit en tôle, est loin d'être silencieuse. En tout cas, à l'intérieur de notre cellule c'est le silence. Si je bandais moins je pourrais peut-être m'endormir.... je vais attendre un peu et me branler, sinon, c'est la nuit blanche. J'attends d'entendre, en dessous, leur souffle apaisé de dormeurs, mais pas encore... et pour cause Branco se lève silencieusement et va se glisser le long de Youf. Un vague chuchotis. Je crois comprendre que youcef est un peu gêné et préfèrerais remettre à plus tard mais il se résigne sans trop se faire prier « oui, vas-y, mais très lentement ! ». Des lits métalliques superposés ne sont vraiment pas propices à des ébats discrets. Branco y va doucement car je n'entends que de très faibles gémissements de plaisir sauf quelques cris étouffés lorsque emporté par le feu de l'action son braquemart frappe un peu durement au plus profond de la chatte de Youf. Pas si facile dans un lit de 80, ventre contre dos, de baiser discrètement, surtout avec un pal de la taille de celui de Branco.
De les entendre juste sous moi, de sentir les vibrations des lits, de suivre, l'oreille tendue, la progression de leur plaisir, le rythme des pénétrations et des halètements tend ma queue à la limite de l'explosion et j'essaie de me branler en me calant sur leur rythme, légèrement pour ne pas jouir trop tôt. Il m'est quand même impossible de le faire avec une totale discrétion.
Au fond, qu'ils comprennent que je me branle excité par ce qu'ils me laisse imaginer, je ne suis pas contre. Certainement, pour Branco, baiser avec Youcef était une manière de me signifier, dès ma première nuit avec eux, l'imprégnation sexuelle du lieu, une manière de marquer un territoire.
L'armature des lits trahit la fréquence et l'amplitude de plus en plus grande des coups de queue de Branco, soulignés par les cris étouffés de Youf mordant son traversin. J'imagine son cul noir de poils dilaté à l'extrême, faisant apparaître son anus distendu comme un collier rose autour de l'énorme sexe qui le pilonne avec régularité. La sueur qui les inonde, et sans doute la salive du serbe s'écoulant au dos de Youcef provoque de profonds bruits de succion. J'essaie de ne plus me toucher, d'attendre, mais ma queue vibrante n'en peux plus, dans ma tête le désir de jouir occupe tout l'espace. Brutalement mon orgasme n'est plus contrôlable et dans un long gémissement sonore mon torse et mon visage sont balayés par des jets de foutre lourd et visqueux, sur mon front, sur mes joues, sur mon nez, dégoulinures que ma langue récupère, comme elle lèche mes doigts lui ramenant le sperme de mon torse... Ma jouissance a déclenché la leur, un cri de Branco qui s'étouffe sur l'épaule de Youf qui jouit dans un sanglot hoqueté.
Le lendemain matin, au petit déj ou ce qui en tient lieu, Branco me regarde l'air goguenard et me dit «Salope ! Tu t'es rincé l'oreille et t'as bien joui hier soir. Il faudra pas rester dans ton coin. ». Youf se marre carrément. Il débarrasse la table, fait la vaisselle passe un coup d'éponge, de balai et la serpillère par terre. La cellule, si exiguë, en paraît presque habitable.
A la promenade je demande à Youcef pourquoi il fait l'esclave. « Pas eu vraiment le choix. Branco, personne ne lui cherche des noises et le deal c'était ça ou pas de protection. Le cul c'est venu après, et t'as vu comme il est monté, je peux te dire que je flippais. Je suis entré ici, pur hétéro, je suis pas sûr de l'être encore. Il a pas l'air comme ça, mais il a su me le mettre doucement et progressivement. Maintenant ça va, et même ça me manquerait si on pieutait pas ensemble. »
Plus tard, dans la soirée, revenus en cellule Branco me dit :
à la télé pendant ton procès on a vu que tu parlais bien, que t'étais instruit et que tu t'y connais pour parler avec les juges et les avocats. Parler, moi, ça va, mais écrire, je savais en cyrillique mais pas en français, Youf est pas très bon non plus. Tu pourras nous aider pour les courriers ?
Bien sûr, je le ferai dès que vous aurez besoin.
La dessus il me serre la main, un étau sa main !
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