Jeudi 14 mai 4 14 /05 /Mai 09:36

 

Il m'avait demandé si j'avais du matos, j'avais dit oui sans préciser vraiment. Il avait l'air motivé qui éviterait peut-être un lapin. J'ai donc préparé la playroom. J'ai étalé sur la grande table basse les godes et plugs dont je dispose
Je lui ai écrit : viens comme tu le sens, mais je ne fantasme pas sur les tenues.
Lui, a écrit que ce qu'il voulait c'est avoir le cul explosé.

Quand il a sonné, j'ai tout de suite constaté qu'il avait braqué un accessoiriste moto. Tout cuir ! En riant, j'ai juste jeté un coup d'oeil sous les zips. Il avait toutes les pelures comme un oignon d'hiver, trois sur les fesses, deux au moins sur le dos. mon rire l'a un peu désarçonné. « Tu enlèves tout, comme ça on risque pas de pourrir ta collection . Tu seras aussi plus à l'aise pour faire le ménage à la fin. » C'est vrai, j'en ai ras le cul d'être seul à éponger les bousées et filaments de J Lube et autres...
L'épluchage promettait d'être long, je me suis installé avec Karmacoma et un whisky bien tourbé.
Stéphane, il s'appelle comme ça, est entré tout nu, Il fait plus freluquet que quand il est arrivé. Il m'avait dit trente ans, c'est plutôt dans les quarante, pas de problème je me fous de l'age des partenaires et lui me plait bien. Je ne voulais pas qu'il se sente mal à l'aise, vexé, par mon rire, mon truc c'est pas l'humiliation. J'ai passé mon bras sur ses épaules et je l'ai poussé vers la table basse. Il est resté en arrêt, les yeux brillants comme ceux d'un gosse dans une confiserie. Il a flashé sur le rayon godes et plugs. J'en ai une collection pour satisfaire tous les appétits. Il a gros appétit me semble-t-il.

  • Putain, t'en as des gros ! J'aimerais bien essayer
  • Choisis
  • Tu veux bien qu'on commence par un fist ? Le gode, là bas me paraît plus impressionnant que tes paluches... on verra après.
  • Grimpe sur le sling et mets bien tes fesses en avant du cuir. T'es nickel ?
  • Ben, oui, j'y ai passé trois heures !

Sa rosette rose pourpre est froncée et palpitante. Elle se rétracte serrée puis se gonfle en se déplissant exposant la dépression plus sombre où je vais introduire un doigt. Le J Lube voile un peu le paysage, et ses couilles volumineuses sont parcourues des filaments inévitables du lubrifiant, comme dans une résille aux dentelles mobiles.
Un doigt seulement pour aller caresser le petit dôme prostatique et déjà il soupire d'aise. Le massage est doux, délicat. Comme c'est tentant de pénétrer plus largement. Le plaisir du massage a assoupli l'anus et je peux jouer avec quatre doigts dans son délicieux vestibule, tapissé de velours que je perçois écarlate lorsque mes doigts se retirant partiellement je peux avoir un regard dans son intimité. Ma main manoeuvre comme une godille (je parle, là, pour les marins qui comprendront le mouvement), l'intérieur des doigts, sensibles, caressent toute la douce paroi grâce à une souple et lente rotation du poignet. Parfois mes doigts se retirent entraînant un chevelu de lubrifiant, c'est un moment de bonheur particulier que ces retraits, et Stéphane gémit de plaisir. Il semble alors suspendu à l'attente de mes doigts à nouveau en lui. Ce jeu charmant il ne s'en lasse pas, et lorsque mes doigts libres jouent et le caressent à l'entrée de son anus, dans les replis de sa rondelle toute froncée , prolongeant son attente de me sentir à nouveau plonger en lui, il gémit d'un autre bonheur. Si j'étais compositeur, sans doute, pourrai-je créer un adagio à l'aide de ses soupirs modulés.
Plus la moindre trace de tonus musculaire dans ce corps, là, abandonné à mes doigts. Il a du me sentir rassurant.
Je replis mon pouce à l'intérieur de ma paume et continue ainsi mes caresses dans son vestibule. Ma main s'appuie un peu à l'entrée mais le ressaut du pouce gène la pénétration directe. Il suffit que je presse un peu ma main ouverte, seule l'articulation fait un peu obstacle. Il le sent et attend de moi que je lève tous les obstacles. Ma main en pression douce attend simplement que le sphincter se relâche juste un peu. Il n'y peut rien, sa contraction ne peut être continue et à chaque relaxation ma main progresse un peu. On peut aller plus vite, bien sûr, mais j'aime que son corps appelle ma main. Dans un instant elle va glisser en lui, comme aspirée, sans même que le passage du détroit entraîne un gémissement, seulement, au moment du glissement, un soupir d'assouvissement. Sa main caresse mon avant bras qui plonge vers lui, remerciement discret pour sa volupté.
Ma main est libre à l'intérieur, son sphincter palpite sur mon poignet. Mes doigts immobiles dans un premier temps lui permettent d'accorder son esprit à cette sensation de réplétude inaccoutumée. Ensuite seulement, je peux commencer à me mouvoir, explorer, sentir au fond, la paroi poussée vers le rachis, la troublante pulsation de son aorte dorsale. Vers le dos, chercher de mes doigts allongés l'entrée du second compartiment rectal, y pénétrer en repoussant le repli qui le cache, et jouer là aussi dans la douceur chaude de son être. Revenir un peu et fermer le poing, afin qu'il se sente plus encore habité. Parfois une pression un peu plus forte le fait émettre un petit jet d'urine que je lappe. Par de nouvelles poussée, j'en provoque de nouveaux et m'y désaltère en m'abouchant à son sexe que je sens durcir. J'aime l'abandon dans lequel il est, prononçant indistinctement des mots sans suite, parfois même des mots d'amour irréfléchis, il gazouille. C'est toujours ses râles et gémissements de plaisir qui guident ma main. Je suis attentif à la moindre crispation de son visage qui traduirait une douleur, même légère. Mon objectif est son bonheur, pas sa souffrance. Je ne cherche pas les pénétrations extrêmes qui allant trop profond dans des zones non innervées et fragiles peuvent être dangereuse et ne donnent pas plus de plaisir. Les sensations plus fortes sont à l'entrée, par la dilatation, ensuite c'est doux et diffus, délicieux et l'on passerait des heures habité ainsi.
Il grogne, gémit, ahane, soupire de plaisir et son visage détendu aux yeux fermés atteste de son bonheur. Il n'a même pas pris de poppers, il ne semble pas avoir besoin d'un accélérateur pour grimper dans son septième ciel.
Donner du plaisir est pour moi le plus efficace aphrodisiaque qui soit. Faire gémir de volupté un partenaire me met dans une érection durable et rigide. D'une main j'ai un peu de mal à me défaire de mon vieux bas de jogging pourri, gluant de J Lube. Encore plus difficulté à enfiler une capote et mon sexe peut, en forçant à peine, se glisser parallèle à mon avant-bras. Il pénètre sa chaleur, ma main se refermant sur mon propre gland pourrait me branler en lui. Pour beaucoup, rester bandé pendant une pénétration n'est pas possible, mais en me penchant sur lui, je peux sucer son sexe flacide. Il retrouve bientôt dans ma bouche une rigidité et je sens sur ma queue et mon avant bras son sphincter se relâcher un peu comme s'il voulait m'avaler plus encore.
C'est très différent bien sûr, que de l'être soi-même, mais j'ai aussi un très grand plaisir à fister un partenaire réactif comme celui là. J'ai toujours été étonné que quelquefois le Fist soit classé dans les pratiques SM, c'est seulement le stade ultime du bonheur d'être pénétré.
Il suffit d'éviter les brutes.
Il semble un peu fatigué, Je me retire et l'aide à descendre du sling. Je le porte dans mes bras, ses jambes ne le soutiennent plus. Je l'allonge sur le canapé, lui sert un whisky. Sa tête sur mes genoux, il n'a pas encore ré-atterri. Les yeux fermés il reprend doucement ses esprits.
On s'y voit à peine dans cette pièce, la musique, très basse est en boucle et je crois bien que nous nous sommes endormis. Je me suis réveillé vers deux heures du matin, il dormait sur moi, ses bras enserrant ma taille. Je l'ai doucement désenlacé et suis allé faire du café.
A mon retour, il est éveillé, reposé, les mains derrière la tête il me regarde amener le café fumant. On est tous les deux à poil, et la situation lui donne une petite émotion pénienne. Il se lève, va changer le disque mais finalement, il a la flemme de chercher et laisse le même, relax.

Au passage il avise à nouveau mes godes et tombe en arrêt sur un gros « Greg » en latex noir: neuf cm de diamètre pour le corps mais quand même huit pour le gland dont la circonférence un peu évasée au dessus du sillon rend la pénétration difficile. Je le sais, je l'ai fait.

Il a envie de l'essayer, c'est vrai, pour un amateur de dilatation c'est sûrement une sorte de Graal, avant d'en trouver un plus large encore. Je lui déconseille, cours de géométrie à l'appui. Je lui explique que ce gros gode n'est pas une grande main, et de loin !
« Ma main est large mais fine pour se glisser en toi, 20 cm maxi de périmètre, le gode cylindrique, presque rigide est très épais, 26cm au moins de périmètre..... ça oblige ta petite chatte à une élasticité qu'elle n'a sans doute pas encore ».

Il y tient, retour sur le sling. Je noie le gode dans le lube et essaie de le rentrer, évidemment ça ne passe pas. J'essaie d'orienter la bordure du gland pour que la moitié rentre et l'orienter à l'inverse pour faire rentrer l'autre partie de la collerette du gland. Après plusieurs minutes et des cris qui ne sont pas de plaisir, il pénètre finalement mais l'anus se referme immédiatement sur le sillon et là, pas question de le faire pénétrer plus avant. Stéphane gueule déjà comme un âne. On est loin du plaisir de tout à l'heure. Il va falloir le sortir et ça va être douloureux aussi, en pratiquant comme l'introduction et en rajoutant une bonne dose de lube.
Stéphane est trempé de sueur. Enfin,le gode sort, lui faisant pousser un dernier cri.
Retour au réalisme. Mes gestes sont très doux, léger massage anal pour faire passer la douleur résiduelle. Je caresse son anus exerçant une pression légère du bout de mes doigts enduis de lubrifiant. Cette pression minime le fait s'ouvrir déjà, et agrippant mon bras, il m'introduit en lui, secoué par un frisson de plaisir. Bandé, je m'interromps un instant pour passer un préservatif et à nouveau le pénétrer de mon sexe, le long de mon bras. Je me penche sur lui et gobe sa queue encore inerte. Le travail de ma langue n'est pas long à le rigidifier. Son cul est béant, plein de ma main et de mon sexe gonflé. Je prends son sexe entièrement dans la bouche. Il coulisse dans ma salive de la hampe au gland turgescent, nappé de ma langue, je le mène à un orgasme qui va être violent, tant son corps entier se cambre et se raidit sur le sling, tandis qu'un flot de mots orduriers m'interpellent. Dans son cul, ma main s'est refermée sur mon gland et se sont ses mouvements désordonnés qui me branlent. Sa jouissance en longues et lourdes fusées, il aurait pu les boire quand elles s'écrasèrent sur son visage. Les miennes contenues dans le latex, n'en finissaient pas, quand au moment de son orgasme son anus s'est brutalement contracté sur moi.
Nous faisions un peu pantins désarticulés, moi affalé sur lui et lui comme inconscient, bras ballants, après nos petites morts ainsi qu'autrefois on appelait les orgasmes.


Marc
Par Marc
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Jeudi 14 mai 4 14 /05 /Mai 09:32

J'ai adapté et traduit ce texte d'une revue américaine  spécialisée dans le style "Dad & Son", trouvée par hasard en fouinant le le net.
Cette revue s'appelle "Handjobs" et c'est dans la série "Bedtime tales"

Je me suis réveillé en sueur avec des démangeaisons partout et vraiment fortes dans les fesses. Je n'avais jamais ressenti cela et ne savais quoi faire.
Je reste là à essayer de penser à ce qu'il faut faire quand papa frappe à la porte de la chambre. Depuis que j'avais eu 18 ans il frappait toujours avant d'entrer.
  •  ça va Ronnie ?
  • Ouais, entre.
Il est venu jusqu'à mon lit et il pose sa main sur mon front. .
  • tu es en sueur, tu te sens fiévreux ?
  • Non, j'ai fait un cauchemar
  • je t'ai entendu gémir.

Il s'est assis sur le bord de mon lit
  • tu ne te souviens pas de ton rêve ?
  • Non, c'était juste bizarre et maintenant je sens des démangeaison partout.
  • T'as peut être une éruption de boutons.
Papa a tourné la lampe vers le lit et tiré les draps vers le bas. J'ai la bite raide
  • c'était sûrement un rêve agréable, j'imagine...
Il a passé la main sur mon torse et sur mes cuisses à la recherche de petits boutons. Ma bite s'est redressée aussitôt.
  • t'es un homme maintenant.
Je ne peux rien répondre tant j'ai la gorge sèche? Sa main est encore entre mes cuisses, sous mes couilles
  • il y a pas de boutons mais ta queue doit te démanger sérieusement.
Elle est raide et vibre accordée à mon pouls qui s'est nettement accéléré. En ramenant sa main de mon entre-cuisse, il la passe lentement sur mon sexe qui par ses battement s'est collé à sa paume, la mouillant d'une goutte de sécrétion claire. J'ai cru, j'avais envie qu'il la saisisse, mais non. Il s'est seulement essuyé sur mon gland décalotté ce qui m'a arraché un soupir sans équivoque.
Il m'a regardé dans les yeux, interrogatif. Je les ai fermé. Il a caressé mon gland quelques secondes et m'a demandé si ça démangeait toujours autant. Comme lorsqu'on fait un baiser à un enfant là où il s'est cogné, et qu'il n'a plus mal, c'est magique.
  • Pas autant, mais mon cul me démange encore beaucoup
  • Alors, il vaut mieux vérifier s'il y a une éruption, mets toi sur le ventre
Il m'a mis un traversin sous le bassin. J'avais les fesses en l'air et il me les a écartées avec ses mains
  • Voyons quel est le problème
Il s'est approché, et je sentais son souffle sur mon trou du cul. Il a écarté encore un peu et avec ses doigts à étiré mon anus.
  • Il semble tout à fait normal, rose et humide. Je vais quand même essayer de te soulager
J'ai senti quelque chose de doux, chaud et humide sur mon trou du cul et tout autour. De longs frissons me parcourent le dos et j'ai réalisé qu'il me lèche le trou. Je me sens si bien, j'ai les yeux fermés et j'ai soulevé le bassin et écarté les jambes pour le sentir mieux encore. Il m'a léché longtemps, forçant mon anus de sa langue. Je dois avoir trempé le traversin tellement je sens ma bite couler.
Papa m'a roulé sur le dos. Elle est rigide et palpitante. Il doit pouvoir se désaltérer avec tout le liquide qu'elle laisse s'écouler et qu'il aspire entre ses lèvres sur mon gland comme s'il suçotait un bonbon. Je tremble de tout mon corps alors Papa a pris toute ma queue dans sa bouche et m'a sucé très fort en la parcourant de la base au gland. Lorsqu'il à pris mes couilles dans ses mains, j'ai explosé et criant. Tout mon corps est contracté, même mes orteils se sont recroquevillés pendant que je remplis de foutre la bouche de Papa, en longues giclées successives. Il a gardé ma queue en bouche jusqu'à mes dernier spasmes, s'est redressé et a dégluti mon sperme en me souriant. Il s'est approché pour embrasser mon font en me disant :
  • Maintenant tu vas mieux dormir et les démangeaisons vont cesser.
Sa queue déforme largement son pantalon de pyjama et une large tache de sécrétion s'y étale. Il va éteindre la lampe de chevet lorsque instinctivement j'ai approché mon visage de son sexe.
Il a baissé son pantalon et j'ai pris sa bite gluante entre mes lèvres, ça aussi c'est instinctif, je me suis mis à le sucer. Il m'a enjambé et à califourchon sur ma poitrine, chatouillé par les poils drus de son cul et de ses couilles, j'ai pris sa queue tendue dans ma bouche, l'aspirant et comme lui glissant de la base jusqu'au gland. Il a fait comme un gloussement, un sanglot et j'ai su que ça venait. Alors j'ai bien serré les lèvres sur sa tige pour que rien ne se perde de ma bouche. Son jus épais, crémeux, me remplissait, l'odeur m'inondait, putain que j'aimais ça !
  • ta mère va se demander ce que je fais. Ce week-end on essaiera de s'occuper de ta démangeaison des fesses, je te promets..
J'ai quand même eu du mal à m'endormir, tant j'imaginais la promesse du week-end. Il a fallu que je me branle pour laisser le sommeil venir.


Ma bite était encore palpitante après avoir quitté la chambre de Ronnie. J'ai encore le goût de son sperme sur la langue. Peut-être tout cela est-il un rêve ?
Avant de retourné au lit avec ma femme, je suis allé me brosser les dents. Non, ce n'est pas un rêve, cela a vraiment eu lieu. Je me suis souvenu des nombreux souvenirs agréables partagés avec mon propre père.
Le lendemain je bosse de soirée à l'usine et je suis rentré après minuit. La maison est silencieuse. Pour ne pas faire de bruit je me suis déshabillé dans la buanderie. J'ai laissé mes vêtement et je suis monté, à poil, silencieusement, à la salle de bain, à côté de ma chambre. En passant j'ai écouté, l'oreille contre la porte de Ronnie. Il n'y avait aucun bruit. En repensant à sa queue dans ma bouche et au goût de son sperme, ma bite a durci et s'est dressée.
Silencieusement, j'ai ouvert sa porte et je suis entré dans sa chambre. Il y a un clair de lune qui l'éclaire de sa douce lueur bleutée. Je suis allé jusqu'à son chevet, me suis mis à genoux à côté de lui. Il est devenu un très beau jeune homme, aux épaules et au torse musclé par le sport. Il dort nu comme je le faisais étant jeune, j'aimais le contact, le frottement des draps qui me faisaient jouir pendant mon sommeil ou même sans dormir.
J'ai délicatement soulevé les draps pour ne pas le réveiller mais pour continuer de l'admirer, mon garçon.
Il a cligné des yeux, m'a regardé le regardant et dans un sourire complice m'a dit
  • c'est déjà le week-end ?
  • J'ai peur que ça te gratte trop et que ça t'empêche de te reposer.
  • Oui, ça me démange beaucoup.
  • Alors, il vaut mieux que je voie ça.
Il s'est mis sur le ventre et soulevant son bassin, a levé ses fesses vers moi. Je les ai écartées et j'ai contemplé sa fleur serrée, comme en bouton. J'ai enfoui mon visage entre ses fesses duveteuses et j'ai dévoré son trou comme mon père le faisait, à me faire défaillir.
  • Il démange encore ?
  • Pas autant, encore un peu, mais ça me fait beaucoup de bien.
  • Sans doute, il faut aller plus en profondeur dans le cul.
J'ai abondamment lubrifié l'anus de ma salive et commencé à le fouiller, écartant son trou serré avec mes doigts et les plongeant à l'intérieur. Ma bite coule de sécrétion comme une fontaine. J'ai gardé son trou entre-ouvert et amené mon gland au-dessus. Avec le flux régulier de pré-jus, mes doigts glissent foutrement mieux.
Ronnie, la tête enfouie dans l'oreiller, a ses mains dans le dos et joue avec ma bite et mes couilles, ses doigts caressent son trou glissant. Je m'empare de sa main et pousse ses doigts à l'intérieur.
  • tu vois Ronnie, comme c'est lubrifié et humide ? Pour ta démangeaison ça va être mieux..
Le cul soulevé comme il l'avait, je pouvais étreindre son bassin, tenir sa bite rigide, juteuse et ses couilles dans mes mains.
  • tâte ton trou, tu vois comme c'est glissant ? Je vais te faire une injection
  • Maintant ?
  • Oui, maintenant... après tu te sentiras beaucoup mieux.
Ronnie à sorti les doigts de son cul, attrapé ma bite, et la plaqué contre son anus lubrifié. Puis ses mains posées sur mes fesses, il me colle à lui pendant que je m'enfonce centimètre par centimètre.
Je voulais que mon garçon sente la bite de son père le pénétrer pour la première fois. Qu'il se souvienne de la douceur de ce moment comme ce fut le cas avec mon père.
Ronnie a laissé échapper un profond soupir, presque un gémissement lorsque ma bite entièrement plongée en lui, il a senti mes couilles contre ses fesses. Je suis resté immobile en lui, il ne peut ressentir que les seules palpitations de ma queue tendue à l'extrême. Longtemps nous sommes restés ainsi, sa queue dans ma main, trempant mes doigts de l'intensité de son désir. La mienne à l'identique s'épanchant continûment, noyant son rectum de mon lubrifiant.
Sentant sa bite se rigidifier, durcir comme de l'acier, j'ai lentement reculé en dedans de lui, puis me suis enfoncé à nouveau comme si tout mon amour pour lui s'était concentré en ces infimes mouvements, noyau étincelant, irradiant.
A peine un gargouillis guttural accompagne la contraction brutale de son corps lorsqu'il vient dans mes doigts en longues et abondantes fusées gluantes. Son sphincter qui m'écrase me fait exploser aussitôt. Affalé, pantelant sur mon garçon, mon cri s'est éteint contre son dos.
Dans la chambre l'odeur intense du foutre est notre vitale atmosphère, roulés sur le côté, nos mains étalent sur nos corps le jus qui en vient, et qui s'en écoule et dont nous voulons nous imprégner.
Son corps est maintenant blotti contre ma poitrine, comme autrefois l'enfant qu'il fut.
  • Je n'ai plus les fesses qui me grattent, me sussure-t-il à l'oreille
  • Si tu as besoin d'un autre traitement, n'hésite pas.
Par marc (trad)
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Mercredi 13 mai 3 13 /05 /Mai 09:23

 

Aux antipodes de Tom of Finland , Julius ou leurs clones, j'aimerais vous faire connaître (si vous ne les connaissez pas déjà) les dessins de Michael KIRWAN. Souvent décalés, parfois drôles, parfois touchants, mais toujours un regard avec une autodérision tendre sur nous, les gays.

 

 

 

 

 

KIRWAN 1011_carnies_2-500x700-copie-1.jpg

1001 4thofJuly1969-600x500

 

clique sur le lien ci-dessous pour voir ses autres dessins

 

 KIRWAN

 

 

  Kirwan-0013

 

 

Pour joindre sa page clique sur le lien suivant

 

Page officielle de KIRWAN

Par marc
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Lundi 11 mai 1 11 /05 /Mai 16:36
Tu sais, il faisait très froid ce soir là. Un vent de noroît avec crachin. Je suis arrivé un peu tard, alors j'ai pris la place qui restait au bout de la galerie. Enfin, même si j'étais arrivé plus tôt, ils m'y auraient envoyé. Allongés les uns contre les autres nos odeurs se mêlent et finissent par être les mêmes pour tous, tabac froid, pisse, bière et ce parfum acide de vinaigre qui se développe par macération du corps sale dans des fringues sales. Ah oui, et l'odeur des chiens, particulièrement ce soir là, où ils étaient mouillés. Je n'ai pas pu rester là, le vent me glaçait et le crachin tourbillonnant trempait mes couvertures, même le chien gémissait un peu.
J'ai pris tout mon barda et on est parti, le chien et moi, à la recherche d'un coin plus abrité. Je savais que ce n'était pas forcément prudent, d'y être seul.
J'ai trouvé une entrée d'immeuble, pas très grande mais protégée du vent. Je savais que j'allais me faire virer, je gênais partiellement le passage. Je me suis quand même endormi un peu.
J'ai été réveillé par un mec qui à trébuché sur moi. Il a dit « excuse moi », et à posé sa main sur mon épaule. Il n'avait pas l'air hostile. Il est resté à regarder le tas de loques que nous faisions le chien et moi. « Suis moi » je ne bougeais pas alors il l'a redit « suis moi, viens avec moi. Tu vas dormir au chaud ». « Le chien ? » j'ai dit. « Amène le avec toi ».
J'ai ramassé mon bordel et je l'ai suivi. Les étages il les montait lentement, je voyais bien qu'il était fatigué.
En entrant dans l'appartement, on sentait tout de suite que c'était un appartement de pauvre, meublé de bric et de broc. Le chien s'est tout de suite couché dans la cuisine contre le radiateur.
Il m'a donné deux serviettes de toilette, une brosse à dent et puis un slip et un tee-shirt blancs . « le savon est sur la baignoire. Enlève ce que tu as dans tes poches, je vais faire une lessive de tes habits, donne moi ce que tu as d'autre à laver » dit-il. « prends ton temps, je démarre la lessive et je vais faire des spaghetti ». Dans l'eau chaude je me sentais revivre, c'était très différent des douches, chaudes aussi, mais si rapidement prises dans les foyers d'une nuit. Il n'avait pas vraiment un choix de shampoing mais seulement un savon de Marseille. J'ai toujours aimé cette odeur simple mais associée pour moi au propre de mon corps et de mes vêtements.
Lorsque vêtu du slip et du tricot blanc je me suis avancé dans la cuisine, il est allé me chercher une sortie de bain et de vieilles babouches, souvenirs d'un ancien voyage. Les pâtes étaient prêtes et nous nous sommes assis face à face devant la table au formica rouge. Il s'est encore excusé « je n'avais que ça ce soir, mais il reste quand même des pommes ».
Il mangeait, les yeux dans son assiette, c'est à peine si nos regards se croisaient, lorsqu'il me demandait de me resservir, ou de reprendre du vin, si j'avais soif. Moi, je le regardais. Il avait des gestes lents comme peuvent en avoir certains paysans, les mains un peu crevassées des maçons, et un beau visage ridé de celui qui a beaucoup vécu dehors. Il devait avoir la cinquantaine, peut être plus. Il avait aussi, autour des yeux, ces rides étoilées de ceux qui ont connu la joie et le rire. Sûrement qu'elles devaient remonter à loin, ces rides là. Après dîner on a desservi. J'ai fait la vaisselle. Et il m'a conduit à une petite chambre d'appoint. « Le lit est bon, tu as les draps et tu mets autant de couvertures que tu veux pour avoir chaud. ».
Je me suis couché. Je l'ai entendu à la salle de bain et aller à sa chambre.
Je n'arrivais à dormir. Nous avions si peu parlé, j'aurais aimé qu'il m'entende, et aussi de l'entendre, lui. Je voyais bien quel taiseux il était. J'ai tourné, retourné dans le lit et j'ai fini par me lever. Je suis allé gratter à sa porte. « entre » a-t-il dit.  Il ne dormait pas, il lisait une vieille revue, qui me faisait penser à « la vie du rail » que je lisais autrefois chez mon oncle. Je me sentais idiot, en slip, là devant lui. Et puis c'est venu, je me suis entendu le dire.. « est-ce que tu peux me prendre dans tes bras ? ». Il m'a regardé étonné, à ouvert ses draps et m'a dit « Oui, viens ». Je suis venu. J'ai posé ma tête sur sa poitrine aux poils blancs. Ses bras m'ont serré contre lui. Je me suis mis à pleurer silencieusement. Il s'en aperçut et me dit en me berçant un peu : « ça va, mon bébé ça va passer ». C'est peut être cette tendresse qu'il exprimait, qu'il m'appelle -mon bébé-, je suis parti à sangloter. Vraiment à sangloter avec des hoquets et des larmes qui coulaient comme ruisseau. Mon père, je ne l'avais pas assez connu, avant que ma mère ne le quitte avec un connard qui nous a emmené si loin de lui. Mais « bébé », je me souviens qu'il le disait à mon oreille jusqu'à mes dix ans quand nous nous sommes perdus.
Je crois que lui aussi pleurait, il laissait suinter ses vieilles blessures. Pour sécher mes larmes il m'embrassait les yeux, les joues, parfois les lèvres. C'est moi, moi seul qui ai pris sa bouche et l'ai embrassé. Je voulais que la tendresse, elle irradie là encore et plus intense encore. Sûrement, il a été surpris mais il m'a rendu ce baiser. C'est devenu comme le dernier baiser du monde, un baiser désespéré et passionné, qui ne pouvait s'interrompre.


Nous étions soudés ensemble, nos bras, presque, étouffaient nos respirations, nos bassins étaient collés et nos sexes rigides joints. Ce baiser abandonnait de l'un à l'autre le plus intime que nous puissions offrir, porteur de tout ce que nous n'avions pas pu dire, pas su dire. Probablement nous avons du jouir presque ensemble dans un murmure.
Je me suis endormi dans ses bras. A-t-il dormi, lui ? Au matin, il m'a réveillé d'un baiser sur le front. Il était déjà levé et avait plié mon linge propre qui avait séché sur les radiateurs. Nous prîmes le petit déjeuner en silence aussi. Un silence débordant d'émotion, qu'une parole aurait pu faire jaillir. Séparation sur le palier, sourires forcés et yeux rouges et humides.
Marc
Par Marc
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Lundi 11 mai 1 11 /05 /Mai 16:32
Le Maître de la fessée ( voir " Rêve de fessée "), sans doute puis-je le nommer ainsi ,m'a convoqué à nouveau sans plus de précision. Le protocole devait être le même, se déshabiller et mettre un bandeau et un bonnet empêchant de voir quoique ce soit. Mes fesses avaient retrouvé leur souplesse après l'expérience précédente et je me demandais si elle pourrait jamais se " tanner " au fil des séances. Très franchement je n'y croyais guère, et m'apprêtais à un début aussi douloureux que la fois dernière.
J'entendais un bruit de conversations et les tintements de verre lorsqu'ils sont reposés sur une table de pierre dure.
Il vint me chercher, l'odeur de tabac hollandais traduisait encore sa présence, et me conduisit
me tenant la main et la caressant.

Lorsque nous arrivâmes dans le salon, je reconnus le tapis, tiède, sous mes pieds. Il me poussa en avant, les conversations cessèrent.avant de reprendre à voix basse. Peut-être trois ou quatre personnes parlaient doucement, en allemand. Le Maître qu'ils ont appelé Werner leur répondit dans cette même langue Malheureusement je ne comprend que très mal, mais j'en aime les sonorités et leurs voix graves et posées étaient agréables à entendre.
Il me semble que Werner leur fit une proposition et j'entendis un des hommes se lever.
Ils me prirent chacun par une main et me firent allonger le dos sur une table étroite couverte d'une couverture un peu rêche.. Mes poignets et mes chevilles furent immobilisés par des velcros de bondage et des liens sous la table. De plus, deux sangles de cuir me maintenaient au niveau de la poitrine et du bassin, bien appuyés sur le bois. Je les entendais bavarder au dessus de moi, rire parfois, sans comprendre même le sujet de leurs échanges.

Ils retournèrent à leurs drinks en discutant, là, de manière plus animée, sans doute au sujet du scénario de mes tortures. L'attente dans une incertitude totale, m'effrayait sourdement car mon inexpérience BDSM me faisait imaginer les pires supplices.

Enfin l'un des hommes s'approcha, me caressa légèrement les tétons , les enduisit de gel et leur adapta une pompe. je reconnus la sensation des " Zaspi-venin " que j'utilisais moi même pour que les mamelons bien dilatés soient faciles à saisir. Un autre était occupé par mes testicules et grâce à des ligatures les pressait, tels deux gros oeufs au fond des bourses tendant la peau élastique sur les boules. Cela aussi je savais de quoi il retournait, car même seul je le pratiquais pour bien saisir les deux couilles sans leur permettre une fuite douloureuse.
Ce qui m'inquiéta un peu fut un bruit un peu mécanique de visserie, et je sentis de suite mes couilles posées entre deux plaques, les vis permettaient de resserrer les planchettes et d'écraser mes testicules.
Le serrage s'arrêta avant la douleur et je me tins coi bien que très inquiet, mais mon sexe était lui dressé, rigide et dur comme si cette inquiétude ne le concernait pas.

Je sentis un peu de mouvement autour de moi. Ils étaient nu car je sentait leur peau tiède et douce parfois le long de mes bras ou de mes doigts. Des mains me caressèrent de l'intérieur des genoux vers les bourses distendues et je sentis que l'on vissait les plaques. La pression sur mes couilles lentement devint plus forte mais supportable encore. Puis plus encore, je me mis à gémir doucement. Puis plus encore et encore. Je ne voulais pas crier mais mon visage devait exprimer ce que le cri ne faisait pas.... Comment définir cette douleur, elle est puissante, continue, mais sourde et irradiante de manière quand même supportable. Chaque tour de vis amplifie encore cette souffrance diffuse, diffuse de plus en plus loin de son origine. Comme si mes couilles avait enflées pour emplir tout mon bassin et mon abdomen tendu. Je retiens mon souffle et mes pleurs. L'un d'eux, peut être me prenant en pitié ou pour me permettre d'aller un peu plus loin encore, prit doucement dans sa bouche mon sexe rigide, récompense délicieuse qui tempérait la douleur. Puis rien ne se passe, sauf un allemand je crois, qui mon sexe en bouche, reste presque immobile, la langue juste collée, douce et fraîche à mon gland. Puis le serre-testicule est ôté et bien qu'elles soient encore prisonnières mes couilles me procurent une sensation délicieuse, comme celle que l'on a, au repos après un effort intense.
Je les entends bavarder et boire encore. Un allemand m'apporte de l'eau en soutenant ma tête et me propose (à ce que je comprends), un whisky. Il s'appelle Hans et est celui qui m'a sucé, me fait-il comprendre. Je me relaxe tous muscles relâchés, je pourrais même m'endormir.
Werner n'en a pas fini avec moi. Ils reviennent l'un me tient les couilles serrées, dressées, et commence à me donner de toutes petites tapes, je me rétracte aussitôt, la presque-douleur me surprend.. Les frappes régulières deviennent plus appuyées et je me contorsionne pour y échapper mais les lanières me maintiennent fermement. Chaque frappe occasionne une douleur aigüe qui reflue rapidement si le rythme reste modéré mais qui devient insupportable sous les coups vite recommencés. Je me contorsionne, je crie, je pleure de douleur et pourtant si le coup suivant ne vient pas c'est comme une absence, un manque, comme si cette douleur violente était la manifestation de ma vie, et son absence une chute angoissante.
Pause... Les conversations interrompues par mes gémissements et mes cris reprennent. J'ai de nouveau droit à un verre d'eau, un long baiser rafraîchissant de Hans et un whisky bien servi.
Je suis couvert de sueur et j'ai un peu froid. On me recouvre d'un drap et l'on m'enlève masque et bonnet. Il sont bien bandant tous, là bas, nus, au salon. Ils se présentent. Hans, je l'aurais reconnu, petit, musclé, et au sourire amical. Les deux autres, belles bêtes velus et barraquées, Ralf et Uwe, sont souriants aussi. Werner nettement plus vieux sourit narquoisement.
Heureusement, la succion de mes tétons s'est un peu détendue, un peu d'air sûrement a filtré. Les mamelons doivent être violacés, turgescents et hypersensibles.
De nouveau ils m'entourent. L'un me caresse les tétons et je sens mon sexe redevenir d'acier pendant que je gémis de bonheur, las, cela ne dure pas et il me pose des pinces à téton japonaises réglées très dur, je crie pour qu'il les desserre un peu, ce qu'il fait.
Les autres s'affairent sur mon sexe et mes couilles. Avant de le voir, j'entends le bip-bip d'un appareil électrique.... je crains le pire, l'électro stimulation je ne connais pas. Une main s'empare de mon sexe et introduit, une sonde métallique. Elle est assez grosse, du moins pour moi, 8, me dit Werner. Elle bloque un peu après le méat et il faut varier les angles pour qu'elle passe le S de l'urêtre dans le gland. Ensuite elle s'enfonce toute seule par son propre poids jusqu'à être presque entièrement masquée. Une pince crocodile vient mordre le bout qui reste. Werner ligature les couilles avec un bracelet silicone conducteur.
Ils se concertent et Werner me traduit : " on va essayer de te faire jouir comme ça "
Je suis très inquiet. Je ne connais rien à l'appareillage. C'est Uwe qui est aux manettes. Ralf me vaporise les couilles d'eau pour améliorer les contacts. Heureusement Uwe est très progressif et bientôt je sens des secousses pas désagréables, qui sans doute pourraient me faire bander si je ne l'étais déjà...Mais il augmente l'intensité avec le rhéostat et là, ça devient vraiment douloureux. Je ne peux m'empêcher de crier. La conduite de l'appareil paraît complexe, il cherche d'autres réglages mais seule, une douleur vive accompagne les intensités élevées qui me font hurler.
Werner et Hans se branlent en me regardant souffrir. Uwe et Ralf sûrement le ferait aussi s'il n'étaient pas occupés.
On décide de me mettre un électrode dans le cul à la place de la sonde et de recommencer. Même douleur sans orgasme. …. je suis épuisé, vidé
Dernière tentative avec un lien conducteur autour du sillon sous le gland et la boucle des couilles. Là, progressivement je sens monter l'excitation et les petites augmentations de puissance du courant qui me parcoure semblent enfin entrer en phase avec mes sensations. Oui, étrange sensation que de sentir venir, lentement un orgasme de bien plus profond qu'habituellement, comme si toute la zone inférieure du bassin, de l'anus , aux couilles, au pénis, coopéraient pour faire jaillir enfin ce jus chaud et libérateur de mon corps rompu.

Hans et Werner avaient joui, sur moi, bien avant moi..... Excités, Ralf et Uwe se sont rattrapé sur mes lèvres entrouvertes avant même que mes spasmes eussent cessé.

Ces tortionnaires impitoyables avec délicatesse m'ont détaché, nettoyé, frictionné avec des gestes très doux, très tendres. M'ont amené, moi flageolant, sur le canapé au milieu d'eux et porté un toast à ma prestation. J'appris quelques mots supplémentaires d'allemand, assez pour demander qu'au cours de la nuit et du matin, ils veuillent bien, tous, venir me baiser.

Marc
Par Marc
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